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Critique de SpyMyina
Autant le dire tout de suite, Sailor Moon n'est absolument pas le meilleur shojo de tout les temps. Mais il a pour lui de représenter toute une époque pour la génération Club Dorothée, et donc forcément, il tire beaucoup sur la corde sensible d'une catégorie de lecteurs dont je fais partie.
Usagi Tusukino est une jeune fille de 14 ans. Flemmarde, pleurnicheuse, cancre et ne pensant qu'à se détendre, elle ne représente pas vraiment l'idée que l'on se fait d'une héroïne. Un jour, elle croise sur le chemin de l'école un chat noir pourvu de pansements sur le front. Usagi se hâte de les lui enlever et y découvre une petite cavité en forme de croissant de lune. Un peu plus tard dans la journée, la jeune fille rencontre de nouveau ce chat étrange, qui à sa plus grande surprise, se met à lui parler. L'animal, se prénommant Luna, lui annonce qu'elle a été choisie pour être une guerrière. C'est ainsi qu'Usagi devient la jolie justicière Sailor Moon qui va devoir affronter des êtres maléfiques afin de protéger la population. Mais ce n'est pas tout, Luna lui annonce également que plusieurs missions lui incombent : retrouver ses alliées, mettre la main sur le mystérieux cristal d'argent avant leurs ennemis et protéger une princesse. Vaste programme.
Certes, l'histoire de ce manga est niaise, kitsch, et somme toute assez banale. Mais il s'en dégage une telle ambiance positive que lire Sailor Moon me paraît être un excellent moyen de se vider la tête de toutes les petites contrariétés du quotidien. Et il faut bien avouer que la fibre nostalgie fonctionne à merveille. Sailor Moon a été un de mes tout premiers mangas et à vrai dire le premier shojo que j'ai lu. Donc, à sa lecture, une flopée de souvenirs m'envahit et ce n'est pas désagréable.
Par ailleurs, il faut saluer le travail de l'éditeur. le sens de lecture japonais est respecté, les noms japonais des personnages ont été conservés et le packaging aux couleurs pastel est très agréable.
Usagi Tusukino est une jeune fille de 14 ans. Flemmarde, pleurnicheuse, cancre et ne pensant qu'à se détendre, elle ne représente pas vraiment l'idée que l'on se fait d'une héroïne. Un jour, elle croise sur le chemin de l'école un chat noir pourvu de pansements sur le front. Usagi se hâte de les lui enlever et y découvre une petite cavité en forme de croissant de lune. Un peu plus tard dans la journée, la jeune fille rencontre de nouveau ce chat étrange, qui à sa plus grande surprise, se met à lui parler. L'animal, se prénommant Luna, lui annonce qu'elle a été choisie pour être une guerrière. C'est ainsi qu'Usagi devient la jolie justicière Sailor Moon qui va devoir affronter des êtres maléfiques afin de protéger la population. Mais ce n'est pas tout, Luna lui annonce également que plusieurs missions lui incombent : retrouver ses alliées, mettre la main sur le mystérieux cristal d'argent avant leurs ennemis et protéger une princesse. Vaste programme.
Certes, l'histoire de ce manga est niaise, kitsch, et somme toute assez banale. Mais il s'en dégage une telle ambiance positive que lire Sailor Moon me paraît être un excellent moyen de se vider la tête de toutes les petites contrariétés du quotidien. Et il faut bien avouer que la fibre nostalgie fonctionne à merveille. Sailor Moon a été un de mes tout premiers mangas et à vrai dire le premier shojo que j'ai lu. Donc, à sa lecture, une flopée de souvenirs m'envahit et ce n'est pas désagréable.
Par ailleurs, il faut saluer le travail de l'éditeur. le sens de lecture japonais est respecté, les noms japonais des personnages ont été conservés et le packaging aux couleurs pastel est très agréable.
