Rien de rafraîchissant comme un bain dans la forêt du Massachusetts avec Thoreau, fidèle observateur d'une faune d'autant plus indifférente qu'on la désigne sous des mots qu'on ne connaît pas, même traduits de l'anglais. Si on n'a pas les moyens de s'offrir une ferme cévenole, ou un manoir dans la vallée de la Bièvre- aucun regret, les castors n'y percent plus de galeries--on saura gré à Thoreau de savoir aménager un lac feuillu dans notre bibliothèque en bois de pin suédois.
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