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Critique de KarineMLVL
Voici un premier roman fort prometteur.
En 34 petits chapitres, tels 34 petites scènes, l'autrice Cécile Tlili construit un huis clos étouffant et prenant, qui se dévore d'un souffle, au rythme des répliques des quatre protagonistes du récit pour lesquels «Un simple dîner» deviendra un moment clé de leur existence, les conduisant à une profonde remise en question de leur vie.
Le lecteur, devenu spectateur de ce huis clos, ne peut s'empêcher de s'interroger à son tour sur l'hypocrisie des relations humaines, et notamment sur la place des femmes dans la société qui semble encore leur laisser trop peu de possibilités d'émancipation et de liberté.
Une lecture plaisante : Cécile Tlili parvenant, sous une apparente facilité et par une fluidité de la langue, à proposer une réflexion profonde autour de personnages à la psychologie complexe.
En 34 petits chapitres, tels 34 petites scènes, l'autrice Cécile Tlili construit un huis clos étouffant et prenant, qui se dévore d'un souffle, au rythme des répliques des quatre protagonistes du récit pour lesquels «Un simple dîner» deviendra un moment clé de leur existence, les conduisant à une profonde remise en question de leur vie.
Le lecteur, devenu spectateur de ce huis clos, ne peut s'empêcher de s'interroger à son tour sur l'hypocrisie des relations humaines, et notamment sur la place des femmes dans la société qui semble encore leur laisser trop peu de possibilités d'émancipation et de liberté.
Une lecture plaisante : Cécile Tlili parvenant, sous une apparente facilité et par une fluidité de la langue, à proposer une réflexion profonde autour de personnages à la psychologie complexe.
