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Critique de Etpourquoipasquatre
Chroniquer cette lecture va m'être sincèrement difficile alors je vais plutôt faire court sinon ça va devenir désagréable pour tout le monde.
Je ne l'ai lu et terminé que pour faire descendre cette PAL interminable et rapporter des points dans mon Crazy Book Trip Challenge, histoire de poser les bases tout de suite 😆.
Qu'est-ce que je n'ai pas aimé ? À peu près tout.
Je suis désolée pour les amateurs de l'autrice mais à mes yeux, c'est extrêmement mal écrit, je le place même plus bas que les 50 nuances ce qui n'est pas peu dire.
Il n'y a aucun style, à part peut-être vulgaire et sexiste ? Sans avoir besoin d'être féministe, grand Dieu comme ce livre fait bondir à chaque page !! Heureusement que c'était un numérique car il aurait fini brûlé je pense.
Quand au vocabulaire, en dehors d'une vulgarité détestable (et qui n'apporte strictement rien au récit à part un agacement profond), c'est d'une pauvreté navrante. Les phrases de 10 mots se font plus que rares, les descriptions (intelligentes) inexistantes, et on relit les mêmes phrases et les mêmes expressions inlassablement. Et je ne parlerai pas de l'histoire ennuyeuse de clichés.
C'était mon premier et dernier.
Je ne l'ai lu et terminé que pour faire descendre cette PAL interminable et rapporter des points dans mon Crazy Book Trip Challenge, histoire de poser les bases tout de suite 😆.
Qu'est-ce que je n'ai pas aimé ? À peu près tout.
Je suis désolée pour les amateurs de l'autrice mais à mes yeux, c'est extrêmement mal écrit, je le place même plus bas que les 50 nuances ce qui n'est pas peu dire.
Il n'y a aucun style, à part peut-être vulgaire et sexiste ? Sans avoir besoin d'être féministe, grand Dieu comme ce livre fait bondir à chaque page !! Heureusement que c'était un numérique car il aurait fini brûlé je pense.
Quand au vocabulaire, en dehors d'une vulgarité détestable (et qui n'apporte strictement rien au récit à part un agacement profond), c'est d'une pauvreté navrante. Les phrases de 10 mots se font plus que rares, les descriptions (intelligentes) inexistantes, et on relit les mêmes phrases et les mêmes expressions inlassablement. Et je ne parlerai pas de l'histoire ennuyeuse de clichés.
C'était mon premier et dernier.
