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Critique de MartineAb


Mincke, dans ce troisième volume de Burru Quartet, devient pleinement adulte et endosse des responsabilités.
L'école de médecine indigène qu'il a intégrée dans une ville où il se retrouve seul ne lui convient pas vraiment, et sa rencontre avec une jeune activiste chinoise va le faire basculer vers l'action politique, via la création d'associations, et de journaux.
Ce volume fait moins de place à sa vie personnelle, à ses relations avec ses amis et ses deuxième et troisième épouses car Mincke s'interroge beaucoup sur les moyens à utiliser pour permettre aux indigènes de prendre leur place, comme les métis ont pu le faire.
Au fil de ses expériences, Mincke apprend comment les intérêts particuliers peuvent pervertir les meilleures intentions, et surtout à quel point, pour les colonisateurs, tous les moyens sont bons pour se débarrasser du gêneur qu'il est devenu.
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