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Critique de OverTheMoonWithBooks
Que ce soit par son titre ou sa couverture, La Princesse et la Bête rappelle fortement l'imagerie de la Belle et la Bête. Et pour sûr, même si l'univers accentue davantage le côté fantastique, la ressemblance est bien là - la petite touche d'originalité est aussi dans l'emprunt aux contes des Mille et Une Nuits pour les costumes.
De fait, on retrouve des thématiques des contes traditionnels et du shôjo : la rencontre entre deux solitudes, un amour impossible à cause d'obligations sociales, la peur du métissage, les maladresses dues à la non connaissance des codes sociaux de l'Autre, la dialectique entre force et douceur - qui donne lieu à des scènes pleine de tendresse - et les maladresses en amour (la peur de mal faire ou de faire mal, ici symbolisée par les griffes de la Bête).
L'atout de ce tome c'est très clairement la maîtrise à la fois de l'univers fantastique dans lequel évolue des personnages animaux (anthropomorphiques) et humains , et aussi des graphismes avec un superbe équilibre entre le noir et le blanc, bestialité apparente et détails des apparences bestiales.
Bien sûr, on reste dans du shôjo, avec une énorme insistance sur la complétude du masculin et du féminin avec une héroïne un peu cruche quand même (certes, pas trop comparée à d'autres héroïnes du genre) mais qui essaye de se soigner par l'étude.
Il faudrait voir avec la suite, avec ce premier tome, je dirai que peut-être je ne serai pas trop prompte à mettre cette série aux oubliettes, et pourquoi pas la conseiller !
De fait, on retrouve des thématiques des contes traditionnels et du shôjo : la rencontre entre deux solitudes, un amour impossible à cause d'obligations sociales, la peur du métissage, les maladresses dues à la non connaissance des codes sociaux de l'Autre, la dialectique entre force et douceur - qui donne lieu à des scènes pleine de tendresse - et les maladresses en amour (la peur de mal faire ou de faire mal, ici symbolisée par les griffes de la Bête).
L'atout de ce tome c'est très clairement la maîtrise à la fois de l'univers fantastique dans lequel évolue des personnages animaux (anthropomorphiques) et humains , et aussi des graphismes avec un superbe équilibre entre le noir et le blanc, bestialité apparente et détails des apparences bestiales.
Bien sûr, on reste dans du shôjo, avec une énorme insistance sur la complétude du masculin et du féminin avec une héroïne un peu cruche quand même (certes, pas trop comparée à d'autres héroïnes du genre) mais qui essaye de se soigner par l'étude.
Il faudrait voir avec la suite, avec ce premier tome, je dirai que peut-être je ne serai pas trop prompte à mettre cette série aux oubliettes, et pourquoi pas la conseiller !
