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Critique de de


de
30 décembre 2012
Un seul être vous manque et tout est démeublé

Pour mémoire d'une sorte de crabe, repeint en vert, pour toutes celles et tous ceux qui s'en accommodèrent comme un éclairage immodeste de leur refus de l'inacceptable et de leurs espérances.


« Mes tiroirs
sont plus complets
que mes oeuvres. »

Sourires aux lèvres, rires et grimaces à la lecture de ces « aphorèmes » : « Aubaine pour les écrivains : le papier n'a pas droit de réponse. »

Pierre Tréfois, suricate d'obédience trotskyste, nous invite « tant qu'il y aura des fossiles… » à des « dyspensées hallucinatoires », des « grimaces d'agélastes », aux « songears villants » avant de nous offrir « une tisane aux algues bleues » pour mieux nous présenter son « précis du réel » et enfin nous quitter en signant des « empreintes du zombi ».

Quelques coups de griffes ou de canines :

« Villa Mon Rêve
En dehors des lieux communs, il n'avait pas de domicile fixe. »

« Mirage
Les chameaux qui se prennent pour des cactus sont complètement miros – chacun sait que les cactus n'ont qu'une bosse. »

« Après 22 heures
Insomnie : tapage nocturne cervical individuel. »

« Poupée russe
L'aphorisme enclôt un sarcasme lequel accentue un doute dont vient d'accoucher, prématurément, une idée reçue. »

« Ce n'est qu'un rébus…
On continue quoi alors ? »
Lien : http://entreleslignesentrele..
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