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Critique de Makmorgella
Je remerci @librinova pour ce service de presse numérique.
L'histoire se passe en Bretagne, dans la station balnéaire de Triffiec, et débute sur les chapeaux de roues avec une chasse à courre d'un genre un peu particulier. Puis très vite nous faisons la connaissance de Phil, dit « Sergent », un bon gars au caractère bien trempé, papa de deux magnifiques filles Fanny Girl et Mousse, et qui ne s'en laisse pas compter, maniant la baston comme un roi lorsque l'occasion s'en fait sentir. Et d'ailleurs, cette opportunité ne va pas tarder à se manifester lorsque Hélèna, la petite amie d'Angelo, un sans papier et ami de Phil disparait et que le roumain se fait salement amocher dans la rue. Phil et sa bande de copains avec qui il traîne depuis l'enfance et qui, le moins qu'on puisse dire, n'ont pas froid aux yeux, vont donner le meilleur d'eux-mêmes dans cette histoire haute en couleur.
J'ai d'abord été déstabilisée par le style de l'auteur, très incisif et la gouaille poussée à l'extrême. Et je me suis dit : waouh, si tout le livre est comme ça, ça ne va pas être du coton, car, je dois bien l'avouer, ce style-là m'a légèrement énervée au début.
Et puis, gentiment, l'histoire se met en place : des migrants opprimés, des enlèvements, des meurtres, tout ça sur fond de castagne bien musclée. Des méchants aux idées machiavéliques que Phil va s'acharner à combattre afin de ramener la paix à Triffiec.
Et quand les barbares qui ont investi le château local menacent de détruire la lande afin de se livrer tranquillement à leurs turpitudes, le petit peuple voit rouge et sollicite l'aide des humains, car il est hors de question, pour les Korrigans de se faire de nouveau expatrier par les hommes.
Ce mélange de fantastique dans un polar bien rythmé amène cette petite touche de fantaisie qui vous fait ouvrir le livre pour ne plus le lâcher jusqu'au dénouement de l'histoire.
Une très belle histoire qui sort des sentiers battus et que je vous recommande tout particulièrement.
Lien : https://www.instagram.com/ma..
L'histoire se passe en Bretagne, dans la station balnéaire de Triffiec, et débute sur les chapeaux de roues avec une chasse à courre d'un genre un peu particulier. Puis très vite nous faisons la connaissance de Phil, dit « Sergent », un bon gars au caractère bien trempé, papa de deux magnifiques filles Fanny Girl et Mousse, et qui ne s'en laisse pas compter, maniant la baston comme un roi lorsque l'occasion s'en fait sentir. Et d'ailleurs, cette opportunité ne va pas tarder à se manifester lorsque Hélèna, la petite amie d'Angelo, un sans papier et ami de Phil disparait et que le roumain se fait salement amocher dans la rue. Phil et sa bande de copains avec qui il traîne depuis l'enfance et qui, le moins qu'on puisse dire, n'ont pas froid aux yeux, vont donner le meilleur d'eux-mêmes dans cette histoire haute en couleur.
J'ai d'abord été déstabilisée par le style de l'auteur, très incisif et la gouaille poussée à l'extrême. Et je me suis dit : waouh, si tout le livre est comme ça, ça ne va pas être du coton, car, je dois bien l'avouer, ce style-là m'a légèrement énervée au début.
Et puis, gentiment, l'histoire se met en place : des migrants opprimés, des enlèvements, des meurtres, tout ça sur fond de castagne bien musclée. Des méchants aux idées machiavéliques que Phil va s'acharner à combattre afin de ramener la paix à Triffiec.
Et quand les barbares qui ont investi le château local menacent de détruire la lande afin de se livrer tranquillement à leurs turpitudes, le petit peuple voit rouge et sollicite l'aide des humains, car il est hors de question, pour les Korrigans de se faire de nouveau expatrier par les hommes.
Ce mélange de fantastique dans un polar bien rythmé amène cette petite touche de fantaisie qui vous fait ouvrir le livre pour ne plus le lâcher jusqu'au dénouement de l'histoire.
Une très belle histoire qui sort des sentiers battus et que je vous recommande tout particulièrement.
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