Je termine "
Le cavalier blanc".
Pauvre Fidelma, contrainte par la force du destin à transiter par Genua en attendant un bateau qui la ramène chez elle. Et c'est encore le destin qui la lie à ce moine qui l'embarque dans une aventure complexe et tortueuse où elle perdra ses repères avant de trouver la solution de l'énigme.
L'intrigue se déroule, se déroule et on peut s'y perdre tant les personnages complexes restent avares de leurs motivations.
En tout cas, c'est le second roman de
Peter Tremayne que je lis avec toujours autant de plaisir.
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