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Critique de florencem


Retour au lycée et pour mettre un peu d'ambiance, on se retrouve avec une nouvelle fête à organiser. Au premier abord, j'avais un peu peur que la mangaka nous fasse un remake de la fête du sport, mais non. Arima et Yukino ne sont pas obligés de courir partout et c'est avec plus de sérénité que cette fête culturel se déroule. Elle apporte aussi une bonne dose d'humour. Ce qui est un plus car on jongle avec la noirceur qui ronge Arima de plus en plus.

Il y a d'ailleurs deux parallèles dans ce tome. le côté amusant et joyeux de la fête et des préparatifs face à Arima qui s'enfonce petit à petit dans une sorte de spirale infernale. Mais aussi Yukino qui s'épanouit, s'ouvre aux autres, fait des projets face à Arima, encore une fois, qui ne peut pas aller de l'avant. le contraste est de plus en plus flagrant. Et d'un certain côté assez effrayant comme les dernières pages de ce tome sept le montrent.

Pourtant, le tome est plutôt agréable à lire. Il y a toute l'effervescence autour de la pièce de théâtre et de la fête qui se prépare. La petite bande de Yukino est en pleine ébullition et on assiste à pas mal de situations comiques. Un nouveau personnage fait aussi son apparition. Un ancien camarade de classe de Tsubaki et Arima. Il est plutôt étrange comme garçon mais sa démarche étrange font qu'on s'y attache tout de même. Les duos qu'il forme avec Tsubaki mais aussi Yukino sont plutôt amusant. En ce qui concerne Tsubaki j'ai hâte de voir ce qu'il va se passer. La jeune femme est du genre totalement décalée et un peu spéciale sur les bords mais c'est ce qui fait son charme. Ses réactions sont spontanées, et elle voit définitivement le monde d'une façon bizarre. du coup, je pense que la suite risque d'être intéressante.

Par contre avec Yukino s'est une autre histoire. C'est plaisant de la voir s'entendre avec un autre garçon mais aussi de voir qu'elle s'ouvre plus facilement. le problème est que ce rapprochement, tout à fait platonique – il n'y a jamais aucune ambigüité – fait que cela réveille en Arima des sentiments assez sombres. C'est effrayant à deux niveaux : déjà parce qu'on a peur qu'Arima finisse par se faire du mal, mais aussi qu'il finisse par blessé quelqu'un. le seul point positif est sa relation avec Asaba. J'ai trouvé les moments qu'ils passaient ensemble vraiment très beaux. Asaba à plusieurs reprises nous montre combien il comprend son meilleur ami, sans avoir besoin de lui parler. Une relation qui je l'espère sera encore plus développée par la suite car elle est vraiment très chouette.
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