Elle disait que personne ne voulait de son feu intérieur, bon qu'à chauffer les bouilloires, elle voulait écrire un roman sur un philosophe et une sorcière, elle aimait les livres, les grosses bagues en argent, les robes … et surtout être amoureuse (de son mari mais d'autres aussi : souvent de façon platonique et à sens unique). Femme passionnée et prompte à s'enthousiasmer pour les oeuvres et les gens rencontrés, elle a souffert de l'incompréhension de ses contemporains, de l'exil, de la faim, de la mort des ses proches, de la solitude.
La suite : http://lepandemoniumlitteraire.blogspot.com/2010/11/
vivre-dans-le-feu-confessions-de-marina.html
Lien :
http://lepandemoniumlitterai.. Commenter  J’apprécie         110