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Critique de LeslecturesdeNinon


Quand je dis qu'il y a des pépites chez les autoédités… Je viens d'en découvrir une supplémentaire !!! Je suis ravie d'avoir lu le premier roman de Georgina, dont j'ai adoré la plume et la sensibilité. C'est difficile de faire une chronique sur ce roman sans spoiler, tant l'histoire que la construction. Parce qu'honnêtement, il faut que vous découvriez ce qu'il en est par vous-même. Si je vous donnais trop de détails, vous n'auriez pas le même plaisir à le lire.
Parlons tout même un peu du début et des personnages principaux… Nous faisons connaissance avec une bande de copains qui ont vingt ans, qui aiment se retrouver pour faire la fête le week-end, et surtout, nous apprenons à connaître Anna, Nico et Mathis, surnommés les Trois mousquetaires car ils sont inséparables. La mère d'Anna est morte il y a plusieurs années et la jeune fille vit avec son père, sa nouvelle compagne de celui-ci et son demi-frère, Léon, un bébé craquant. Mathis, lui, vit seul avec sa mère. Son père a reconstruit sa vie loin d'eux, sans vraiment se préoccuper de son fils. La mère de Nico est la meilleure amie de la mère de Mathis. Les deux garçons sont comme des frères. La bande d'amis (sauf nos trois mousquetaires) est séparée géographiquement à cause de leurs études secondaires. Ils se retrouvent donc pendant les vacances de Noël. le roman est découpé en plusieurs parties et dans la première, nos jeunes amis préparent la fête du Nouvel An avec enthousiasme. Musique, alcool, love stories… Il ne savent pas encore que leur vie va basculer brusquement …
La première partie se termine donc dramatiquement… mais je peux vous dire que j'ai lu la deuxième à fleur de peau, les larmes aux yeux tout du long… c'est d'ailleurs ma préférée et je vous conseille de garder des mouchoirs à portée de mains.
Les émotions sont profondes, justes, les dialogues entre les jeunes sont bourrés d'humour, et le roman dans son ensemble est un hymne à la vie.
Et puis… on arrive à la dernière page. Et là, on se dit : « nnnooonnnnn !!! ». Frustration extrême. On en veut encore !
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