Reçu hier, lu dans la foulée, désespérée d'apprendre qu'il me faudra attendre 3 mois pour lire la suite.
Parce que cet univers, ce dessin, ces personnages me hantent déjà.
Parce qu'il faut être sacrément tordu pour inventer une fin du monde dont les héros sont inconscients, une prison de rêve élaborée par leur meilleur ennemi, pour imaginer des relations aussi alambiquées entre les survivants d'une catastrophe effacée de leurs mémoires. Mais il faut un art consommé pour que tout cela devienne crédible, addictif, et raconté en autant de coups de pinceaux délicats.
La classe . Juste la classe.
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