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Critique de LoupAlunettes
Revoici Philippe Ug, maître du livre en volume et artiste-roi du Pop-up.
Ces robots qui n'aiment pas l'eau nous avaient vraiment amusés, pour le catalogue et la technique en volume.
C'est une véritable histoire cette fois qu'il nous réserve l'auteur-artisan avec un gros éléphant dans un palais indien.
Comme l'expression de "l'éléphant dans un magasin de porcelaine", notre héros, offert à la fille du Maharajah, aura du mal à trouver sa place sans déplacer autrui ou casser ceci et cela.
Mais ce n'est pas tout, le pachyderme développera aussi un peu mauvais caractère en grandissant, grandissant.
Le Maharajah est désespéré alors que la Princesse nous donne l'air à l'image de se moquer férocement.
Vilaine fille!
Mon royaume a celui qui le soumettra comme un chiot la queue et les oreilles basses ( c'est une façon de parler, si il fallait donner le royaume, il faudrait donner la princesse et gage qu'elle ne serait pas d'accord... quoi que...).
L'histoire est courte et un peu prétexte mais les lecteurs vont adhérer à ces personnages malicieux et à ces merveilles colorées qui se dressent instantanément à chaque tour de page.
Philippe Ug se montre propositionnel sur l'illustration et sur son travail du papier.
Tandis que, le Pop-Up usera de son charme et aura déja à moitié conquis les jeunes lecteurs, leur attention devrait aussi se reporter sur la stylisation des personnages imaginée pour l'histoire, ils nous font penser à des statues de l'île de Pâques grimés en indiens de la grande Inde, une disproportion des têtes qui renforcera le ton comique donné à la péripétie.
C'est presque un petit Pop-up de poche dans sa forme, ce qui le rend moins précieux que d'autres oeuvres du même genre, plus manipulable et transportable partout... sans encombres.
Ces robots qui n'aiment pas l'eau nous avaient vraiment amusés, pour le catalogue et la technique en volume.
C'est une véritable histoire cette fois qu'il nous réserve l'auteur-artisan avec un gros éléphant dans un palais indien.
Comme l'expression de "l'éléphant dans un magasin de porcelaine", notre héros, offert à la fille du Maharajah, aura du mal à trouver sa place sans déplacer autrui ou casser ceci et cela.
Mais ce n'est pas tout, le pachyderme développera aussi un peu mauvais caractère en grandissant, grandissant.
Le Maharajah est désespéré alors que la Princesse nous donne l'air à l'image de se moquer férocement.
Vilaine fille!
Mon royaume a celui qui le soumettra comme un chiot la queue et les oreilles basses ( c'est une façon de parler, si il fallait donner le royaume, il faudrait donner la princesse et gage qu'elle ne serait pas d'accord... quoi que...).
L'histoire est courte et un peu prétexte mais les lecteurs vont adhérer à ces personnages malicieux et à ces merveilles colorées qui se dressent instantanément à chaque tour de page.
Philippe Ug se montre propositionnel sur l'illustration et sur son travail du papier.
Tandis que, le Pop-Up usera de son charme et aura déja à moitié conquis les jeunes lecteurs, leur attention devrait aussi se reporter sur la stylisation des personnages imaginée pour l'histoire, ils nous font penser à des statues de l'île de Pâques grimés en indiens de la grande Inde, une disproportion des têtes qui renforcera le ton comique donné à la péripétie.
C'est presque un petit Pop-up de poche dans sa forme, ce qui le rend moins précieux que d'autres oeuvres du même genre, plus manipulable et transportable partout... sans encombres.
