Ces innombrables stations de métro moscovites détruites, poussiéreuse, miséreuse, qui sentent la mort à chaque recoin sombre, que les péripéties d'Artyom amènent à découvrir, sont à visiter de leur vivant pour leur beauté.
Même si une poignée d'humanité s'est réfugiée sous terre, et a fait preuve de débrouille pour survivre. C'est dans ces moments-là qu'on se dit que l'on est très peu équipé pour être autonome en chose vitale du quotidien … voir pas du tout.
Métro 2033 → une extrapolation de notre condition actuelle. Mais nous ne sommes pas si éloigné que les habitants du Métro… à vouloir survivre pour voir le lendemain, avoir une situation, à manger, un logement, des médicaments, la sécurité…
Une chose à retenir : « l'homme est un loup pour l'homme. »
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