L'art délicat de rester assis sur une balançoire (L'art difficile de...)

Le titre est très long … aussi long que le roman lui-même … L'ennui je l'ai ressenti au fil des pages à tel point que j'en ai abandonné la lecture à plusieurs reprises. C'est un thème vu et revu, vécu et revécu. Malheureusement l'auteure n'a pas su lui insuffler un peu d'originalité ou ce petit quelque chose en plus pour nous y intéresser. Les personnages qui entourent la narratrice n'ont pas consistance. Ce manque de consistance a surtout créé l'envie d'en savoir plus et est l'un des gros défauts de ce roman.
Il n'y a pas de rebondissement (du moins un rebondissement intéressant qui pourrait relancer la lecture : je l'ai attendu. Et lorsqu'enfin il est arrivé (en fin de roman), il est arrivé avec une grande déception et comme un cheveu dans la soupe. le coupable de la disparition de son mari ? Pour que la fin soit crédible peut-être aurait-il fallu que l'auteure nous donne un peu plus d'indices sur le personnage et développe plus le personnage… Je n'ai pas vraiment compris cet épisode. Mais cela relève peut-être de la physique quantique.