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Critique de palamede
« Comprendre Angela Merkel, c'est ne pas oublier d'où elle vient et où elle a grandi ... ».
En effet on ne peut comprendre la formidable ascension à la CDU (parti catholique, conservateur et masculin) de la fille de pasteur issue de la RDA et divorcée, Angela Merkel, et sa longévité à la tête de la chancellerie allemande, sans connaître son éducation dans les cercles évangéliques au sein d'une dictature communiste.
Un parcours politique hors normes lié aussi à la personnalité intrinsèque d'Angela, qui si elle n'est pas vaniteuse (« Je ne suis pas vaniteuse. Je sais utiliser la vanité des hommes » dit-elle) est, à coup sûr, ambitieuse, calculatrice sans états d'âme, habile manipulatrice et femme pragmatique et... discrète — à ses débuts en politique, sa timidité et son apparence modeste de brillante scientifique se moquant de son image ont endormi la méfiance de beaucoup.
Interrogeant ceux qui l'on connue, des plus anonymes aux plus illustres, Marion van Renterghem, journaliste au Monde et à Vanity Fair, est partie sur les traces d'Angela Merkel, de son enfance à la veille de sa réélection en 2017. le portrait qu'elle en fait, sans être une hagiographie, est celui d'une femme qu'elle admire. Non sans raison, la réussite d'Angela est une victoire non seulement pour elle, mais aussi pour toutes les femmes.
En effet on ne peut comprendre la formidable ascension à la CDU (parti catholique, conservateur et masculin) de la fille de pasteur issue de la RDA et divorcée, Angela Merkel, et sa longévité à la tête de la chancellerie allemande, sans connaître son éducation dans les cercles évangéliques au sein d'une dictature communiste.
Un parcours politique hors normes lié aussi à la personnalité intrinsèque d'Angela, qui si elle n'est pas vaniteuse (« Je ne suis pas vaniteuse. Je sais utiliser la vanité des hommes » dit-elle) est, à coup sûr, ambitieuse, calculatrice sans états d'âme, habile manipulatrice et femme pragmatique et... discrète — à ses débuts en politique, sa timidité et son apparence modeste de brillante scientifique se moquant de son image ont endormi la méfiance de beaucoup.
Interrogeant ceux qui l'on connue, des plus anonymes aux plus illustres, Marion van Renterghem, journaliste au Monde et à Vanity Fair, est partie sur les traces d'Angela Merkel, de son enfance à la veille de sa réélection en 2017. le portrait qu'elle en fait, sans être une hagiographie, est celui d'une femme qu'elle admire. Non sans raison, la réussite d'Angela est une victoire non seulement pour elle, mais aussi pour toutes les femmes.
