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Critique de crounet
L'Europe est à un carrefour, 30 ans après la chute du mur de Berlin, les populismes s'expriment à travers le continent et le repli sur soi des différents membres de l'UE s'affirme.
Pourquoi ce doux rêve d'une belle Europe ouverte et mondialisée semble s'écrouler petit à petit.
La construction de ce mastodonte s'est faite avec des failles, révélées aujourd'hui, qui expliquent une Europe éloignée de ses habitants.
La journaliste, auteure de ce document, à rêvé d'une belle Europe et celle-ci se dérobe sous ses yeux, et on sent sa souffrance. Elle donne la parole à ceux qui ne sont pas concernés par les questions de géopolitique, ceux qui, dans leur quotidien, ont plus perdu de l'union que gagné. Sans les comprendre elle leur offre la possibilité d'exprimer pourquoi l'ultralibéralisme en vogue à Bruxelles n'est pas bon pour tous et est rejeté par de plus en plus de pays.
La peur des nationalismes règne tout au long du livre, et je pense à une erreur de diagnostic, le repli est un réflexe de défense plutôt qu'une réelle envie de rejet de l'autre.
En résumé, le livre est bénéfique car il offre plusieurs visions de l'Europe à travers des portraits venus de différents horizons tant géographiques que sociaux. Mais l'analyse est un peu superficielle et la journaliste n'a pas su avoir le recul pour véritablement tirer des conclusions de ces témoignages.
Pourquoi ce doux rêve d'une belle Europe ouverte et mondialisée semble s'écrouler petit à petit.
La construction de ce mastodonte s'est faite avec des failles, révélées aujourd'hui, qui expliquent une Europe éloignée de ses habitants.
La journaliste, auteure de ce document, à rêvé d'une belle Europe et celle-ci se dérobe sous ses yeux, et on sent sa souffrance. Elle donne la parole à ceux qui ne sont pas concernés par les questions de géopolitique, ceux qui, dans leur quotidien, ont plus perdu de l'union que gagné. Sans les comprendre elle leur offre la possibilité d'exprimer pourquoi l'ultralibéralisme en vogue à Bruxelles n'est pas bon pour tous et est rejeté par de plus en plus de pays.
La peur des nationalismes règne tout au long du livre, et je pense à une erreur de diagnostic, le repli est un réflexe de défense plutôt qu'une réelle envie de rejet de l'autre.
En résumé, le livre est bénéfique car il offre plusieurs visions de l'Europe à travers des portraits venus de différents horizons tant géographiques que sociaux. Mais l'analyse est un peu superficielle et la journaliste n'a pas su avoir le recul pour véritablement tirer des conclusions de ces témoignages.
