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Critique de Ccile
Cette série a tout d'abord été publiée sous le format de 60 épisodes, alors que j'ai mis la main sur les intégrales en 5 tomes de Urban Comics. La trame de l'histoire en est affectée, pour le meilleur : on a beaucoup d'action, peu de temps mort et pas mal de cliff-hangers qui dynamisent l'histoire.
J'ai appris que l'histoire a été écrite sur 5 ans (un an par tome), et on s'aperçoit au fil de la lecture que rien n'est laissé au hasard. La psychologie des personnages est creusée, même les personnages secondaires évitent les stéréotypes et les facilités. Ici point de manichéisme, tout le monde a sa part d'ombre et de lumière.
Le topo post-apocalyptique et la profondeur des personnages m'ont fait penser à la série (en comics) de the Walking Dead, le côté zombiesquement gore en moins.
Yorik et son singe sont les derniers spécimens mâles sur Terre. Voulant retrouver sa fiancée – en Australie lorsque l'épidémie a frappé – Yorik va devoir affronter de nombreux groupes de femmes plus ou moins dangereux, comme les Amazones, ces femmes qui prennent la mort des hommes comme un présage positif… Heureusement (ou pas, car rien n'est fixé) il va rencontrer l'agent secret nommée 355 qui va le protéger, ainsi que le docteur Mann, une scientifique spécialiste du clonage humain, qui veut l'utiliser comme cobaye pour trouver l'origine et l'antidote de cette épidémie.
L'histoire m'a captivée dès la première seconde, le réalisme des personnages est frappant et le scénario tient la route sur ce premier tome. Une très belle découverte en somme.
J'ai été vite conquise, car il faut savoir que Brian K. Vaughan est aussi l'auteur d'une série comics que j'affectionne tout particulièrement : Saga. Il ne pouvait en ressortir que du bon !
Lien : https://pandaschronics.wordp..
J'ai appris que l'histoire a été écrite sur 5 ans (un an par tome), et on s'aperçoit au fil de la lecture que rien n'est laissé au hasard. La psychologie des personnages est creusée, même les personnages secondaires évitent les stéréotypes et les facilités. Ici point de manichéisme, tout le monde a sa part d'ombre et de lumière.
Le topo post-apocalyptique et la profondeur des personnages m'ont fait penser à la série (en comics) de the Walking Dead, le côté zombiesquement gore en moins.
Yorik et son singe sont les derniers spécimens mâles sur Terre. Voulant retrouver sa fiancée – en Australie lorsque l'épidémie a frappé – Yorik va devoir affronter de nombreux groupes de femmes plus ou moins dangereux, comme les Amazones, ces femmes qui prennent la mort des hommes comme un présage positif… Heureusement (ou pas, car rien n'est fixé) il va rencontrer l'agent secret nommée 355 qui va le protéger, ainsi que le docteur Mann, une scientifique spécialiste du clonage humain, qui veut l'utiliser comme cobaye pour trouver l'origine et l'antidote de cette épidémie.
L'histoire m'a captivée dès la première seconde, le réalisme des personnages est frappant et le scénario tient la route sur ce premier tome. Une très belle découverte en somme.
J'ai été vite conquise, car il faut savoir que Brian K. Vaughan est aussi l'auteur d'une série comics que j'affectionne tout particulièrement : Saga. Il ne pouvait en ressortir que du bon !
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