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Critique de domdu84
C'est la fin de mon séjour bourguignon, il se termine très bien. J'ai donc lu le tome 3 de la série « Crimes au vert et verre de vin ». Emma Veil, l'auteure a eu la gentillesse de me l'envoyer pour le chroniquer, grand merci à elle.
On se permet de rêver, alors que l'hiver dans la campagne bourguignonne est là, la nature décrite semble figer nos pensées dans un endroit bucolique et apaisant.
Pour Valérie, la maire du village, il est question de trouver un nom pour l'organisation de divers évènements qui devront se dérouler sur la commune. AcTes est retenu : « comité des activités du territoire de Saint-Saunier », c'est donc la proposition de Clarisse Adler qui fut retenue. Ensuite il fallut retenir quelles activités auraient lieu lors de la traditionnelle fête du sel au printemps. Les habitants semblent particulièrement participatifs.
Et la fête commence, elle doit durer 8 jours, de quoi divertir beaucoup de monde. L'activité bat son plein, le bar de Lionel est plein.
Ce matin là, Clarisse vaque tranquillement chez elle, elle va aller faire une petite ballade dans la campagne calme, aux abords de la fête foraine, endormie, guerre de monde, il est tôt. Elle voit un cerf, privilège rare, un cadeau de la nature autour de cette vision. Cette balade ne réussira pas à satisfaire Clarisse, en effet elle la terminera au bar du village. Tout le monde est au corant qu'elle a découvert un corps dans laf orêt.
L'agitation au village est au plus haut et beaucoup de monde souhaite que Clarisse enquête, mais pour elle c'est NON, elle avait prévenu lors de sa deuxième enquête qu'elle n'était pas détective.
Et puis il y a la rencontre avec un journaliste du « Journal du centre » de Nevers. Au bistrot de Lionel qui le présente à Clarisse. Il avait déjà écrit plusieurs reportages sur les événements survenus à Saint Saunier auparavant. Et d'ailleurs Clarisse lui fait reproche d'attribuer les résultats à « on », alors qu'elle seule les avait résolus. Devant un verre de vin ils en discutent.
Toujours est-il que ces deux-là vont faire équipe. Clarisse ne manque pas toutefois d'informer le « glacier » heu ! le major Hervé Gibert, de ses découvertes.
Des évocations nous font remonter le temps avec les duels à l'épée qui pouvaient s'arrêter dès le premier sang qui coulait, mais aussi, jusqu'au dernier sang. La famille de Gabin, le jeune saint-cyrien était plutôt aristocratique, le souvenir des ancêtres étaient bien encrés dans cette famille.
Clarisse débusquera t-elle la vérité ?
Cela fut véritablement un bon moment de lecture, un suspens distillé à petite doses, et une fin comme sait les ménager l'auteure, qui n'en restera pas là,
On se permet de rêver, alors que l'hiver dans la campagne bourguignonne est là, la nature décrite semble figer nos pensées dans un endroit bucolique et apaisant.
Pour Valérie, la maire du village, il est question de trouver un nom pour l'organisation de divers évènements qui devront se dérouler sur la commune. AcTes est retenu : « comité des activités du territoire de Saint-Saunier », c'est donc la proposition de Clarisse Adler qui fut retenue. Ensuite il fallut retenir quelles activités auraient lieu lors de la traditionnelle fête du sel au printemps. Les habitants semblent particulièrement participatifs.
Et la fête commence, elle doit durer 8 jours, de quoi divertir beaucoup de monde. L'activité bat son plein, le bar de Lionel est plein.
Ce matin là, Clarisse vaque tranquillement chez elle, elle va aller faire une petite ballade dans la campagne calme, aux abords de la fête foraine, endormie, guerre de monde, il est tôt. Elle voit un cerf, privilège rare, un cadeau de la nature autour de cette vision. Cette balade ne réussira pas à satisfaire Clarisse, en effet elle la terminera au bar du village. Tout le monde est au corant qu'elle a découvert un corps dans laf orêt.
L'agitation au village est au plus haut et beaucoup de monde souhaite que Clarisse enquête, mais pour elle c'est NON, elle avait prévenu lors de sa deuxième enquête qu'elle n'était pas détective.
Et puis il y a la rencontre avec un journaliste du « Journal du centre » de Nevers. Au bistrot de Lionel qui le présente à Clarisse. Il avait déjà écrit plusieurs reportages sur les événements survenus à Saint Saunier auparavant. Et d'ailleurs Clarisse lui fait reproche d'attribuer les résultats à « on », alors qu'elle seule les avait résolus. Devant un verre de vin ils en discutent.
Toujours est-il que ces deux-là vont faire équipe. Clarisse ne manque pas toutefois d'informer le « glacier » heu ! le major Hervé Gibert, de ses découvertes.
Des évocations nous font remonter le temps avec les duels à l'épée qui pouvaient s'arrêter dès le premier sang qui coulait, mais aussi, jusqu'au dernier sang. La famille de Gabin, le jeune saint-cyrien était plutôt aristocratique, le souvenir des ancêtres étaient bien encrés dans cette famille.
Clarisse débusquera t-elle la vérité ?
Cela fut véritablement un bon moment de lecture, un suspens distillé à petite doses, et une fin comme sait les ménager l'auteure, qui n'en restera pas là,
