>
Critique de Aderu
Magistral. L'horreur humaine passée au tamis de la sobriété graphique.
En 50 épisodes, de 520 AEC à 2021, passant par les quatre coins du monde, Cédric Villain brosse un portrait glacial de la plus grande des spécialités humaines : l'horreur.
D'une incroyable créativité visuelle, ce livre unique résume en six pages chacun des événements, chacune des pratiques composant son sommaire. La dernière de ces pages, nommée "compléments", change le braquet de la narration et donne diverses anecdotes ou informations élargissant le sujet, la zone géographique ou l'époque concernées.
Un livre qui se picore, qui se savoure comme une oeuvre que l'on regrette d'avoir fini, tant sa finesse en impose.
Derrière ce titre impertinent se cache un bijou intellectuel. Un exercice de style graphique magistralement exécuté. Un travail d'une grande intelligence. Vertigineux.
En 50 épisodes, de 520 AEC à 2021, passant par les quatre coins du monde, Cédric Villain brosse un portrait glacial de la plus grande des spécialités humaines : l'horreur.
D'une incroyable créativité visuelle, ce livre unique résume en six pages chacun des événements, chacune des pratiques composant son sommaire. La dernière de ces pages, nommée "compléments", change le braquet de la narration et donne diverses anecdotes ou informations élargissant le sujet, la zone géographique ou l'époque concernées.
Un livre qui se picore, qui se savoure comme une oeuvre que l'on regrette d'avoir fini, tant sa finesse en impose.
Derrière ce titre impertinent se cache un bijou intellectuel. Un exercice de style graphique magistralement exécuté. Un travail d'une grande intelligence. Vertigineux.
