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Critique de Mysterfool
Opus 22 de la série c'est loin d'être le meilleur !
Ecrit en 1971 juste avant le changement de nom en Sri Lanka, Gérard ne fait aucun allusion aux tension entre Tamouls (indouistes) et Cingalais (bouddhistes). Mais nous sommes en pleine guerre froide et l'histoire relate un simple conflit entre américains et soviétiques dans un petit pays comme ils en avaient la mauvaise habitude à cette époque. Un scénario inexistant mais de bons personnages tels Swanee la Malko-girl du moment (Alexandra a du souci à se faire) et Pitti-Pitti, paria cul-de-jatte, emblématique à souhait qui nous offre avec sa partenaire Diana, une scène d'anthologie pour tout amateur des aventures son Altesse Sérénissime.
Gérard a dû se laisser endormir par l'atmosphère humide tropicale qui ne doit pas être propice à l'inspiration.
En tout cas j'ai pu vérifier que le monde bouddhiste n'est pas pavé que de bonnes intentions. Mais avais-je vraiment besoin de cette piqûre de rappel ?
Ecrit en 1971 juste avant le changement de nom en Sri Lanka, Gérard ne fait aucun allusion aux tension entre Tamouls (indouistes) et Cingalais (bouddhistes). Mais nous sommes en pleine guerre froide et l'histoire relate un simple conflit entre américains et soviétiques dans un petit pays comme ils en avaient la mauvaise habitude à cette époque. Un scénario inexistant mais de bons personnages tels Swanee la Malko-girl du moment (Alexandra a du souci à se faire) et Pitti-Pitti, paria cul-de-jatte, emblématique à souhait qui nous offre avec sa partenaire Diana, une scène d'anthologie pour tout amateur des aventures son Altesse Sérénissime.
Gérard a dû se laisser endormir par l'atmosphère humide tropicale qui ne doit pas être propice à l'inspiration.
En tout cas j'ai pu vérifier que le monde bouddhiste n'est pas pavé que de bonnes intentions. Mais avais-je vraiment besoin de cette piqûre de rappel ?
