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Critique de DelectablesLectures
Génie de l'Immaculé déchue depuis des siècles, Alba est devenue Lady Whitmore, dirigeante et protectrice d'Hibernia. Menacé par la montée des eaux, l'archipel dépend de son puissant et surpeuplé voisin Cymru pour construire les digues qui empêcheraient sa disparition.
Mais ce dernier jalouse la prospérité des terres hiberniennes et en échange de son aide, exige qu'Alba lui en révèle les secrets. Malgré l'antipathie que lui inspire Lethan Alcor, l'émissaire aussi arrogant que charismatique envoyé par Cymru, Alba est bien décidée à défendre les intérêts de son peuple, même si cela implique une cohabitation houleuse.
Le roman est annoncé comme une romantasy, mais se révèle bien plus que cela. J'ai trouvé le trope enemies-to-lovers particulièrement réussi, grâce à l'alchimie très efficace entre Alba et Lethan, marquée par des échanges plein de verve et des piques savoureuses. Les autres personnages ne sont pas en reste : l'autrice nous offre une galerie de protagonistes hauts en couleurs et profondément attachants, notamment la famille d'adoption d'Alba.
Au-delà de la romance, le roman offre une réflexion intéressante sur la quête de soi et d'un chez-soi, sur ce que représente un foyer. L'autrice amène cette réflexion avec beaucoup d'élégance et de finesse dans le traitement des émotions, tout en portant en parallèle un message écologique fort - mais tout en subtilité.
« Porcelaine sous les ruines » a été une merveilleuse lecture, véritable parenthèse de douceur et de réconfort. J'y ai retrouvé tout ce que j'aime : une ambiance enveloppante, de l'évasion, des personnages qu'on n'a pas envie de quitter, beaucoup d'émotions et une fin lumineuse. J'ai été envahie de nostalgie dès la dernière page tournée, un signe qui ne trompe pas : le roman est un vrai coup de coeur et mérite indéniablement l'engouement qu'il suscite depuis sa sortie !
Mais ce dernier jalouse la prospérité des terres hiberniennes et en échange de son aide, exige qu'Alba lui en révèle les secrets. Malgré l'antipathie que lui inspire Lethan Alcor, l'émissaire aussi arrogant que charismatique envoyé par Cymru, Alba est bien décidée à défendre les intérêts de son peuple, même si cela implique une cohabitation houleuse.
Le roman est annoncé comme une romantasy, mais se révèle bien plus que cela. J'ai trouvé le trope enemies-to-lovers particulièrement réussi, grâce à l'alchimie très efficace entre Alba et Lethan, marquée par des échanges plein de verve et des piques savoureuses. Les autres personnages ne sont pas en reste : l'autrice nous offre une galerie de protagonistes hauts en couleurs et profondément attachants, notamment la famille d'adoption d'Alba.
Au-delà de la romance, le roman offre une réflexion intéressante sur la quête de soi et d'un chez-soi, sur ce que représente un foyer. L'autrice amène cette réflexion avec beaucoup d'élégance et de finesse dans le traitement des émotions, tout en portant en parallèle un message écologique fort - mais tout en subtilité.
« Porcelaine sous les ruines » a été une merveilleuse lecture, véritable parenthèse de douceur et de réconfort. J'y ai retrouvé tout ce que j'aime : une ambiance enveloppante, de l'évasion, des personnages qu'on n'a pas envie de quitter, beaucoup d'émotions et une fin lumineuse. J'ai été envahie de nostalgie dès la dernière page tournée, un signe qui ne trompe pas : le roman est un vrai coup de coeur et mérite indéniablement l'engouement qu'il suscite depuis sa sortie !
