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Critique de LoupAlunettes
"Fracassante rencontre" est intrigant.
Les jeunes lecteurs ne sauront pas forcément à quoi s'attendre avec un tel titre.
À quel choc s'attendre?
Nous nous sommes permis de le relire deux fois et étrangement, il eut meilleur goût et plus grande saveur, il fallait donc un temps, pour nous, pour que le charme agisse.
C'est une drôle d'histoire, farfelue et pourtant bien triste, amère. Une tablette de chocolat amer.
L'auteure Estelle Vonfeldt nous contera un monde imaginaire, urbain, qui ressemble au notre.
Tous les habitants y naissent avec une plante sur la tête. Oui, vous avez bien entendu. Personne ne sait vraiment pourquoi. Toujours est-il que chacun a son idée et son interprétation sur ces plantes, celle qui remporte le plus d'adhésion: ces natures vertes révèlent ce que vous êtes .
On comprend qu'il est plus rassurant de pourvoir définir les gens, de savoir à qui ont à affaire.
Ce monde est simple et pourtant si attaché au repère du beau.
Imaginez, chers jeunes lecteurs, vous qui n'avez pas de plantes sur la tête.
Ça sera le cas de notre héros.
Il est un peu contraignant de ne pas se sentir comme les autres, qu'on vous le fasse sentir et c'est pire en grandissant.
Pourtant la vie contine et Monsieur D. Zert se trouvera une utilité dans cette drôle de société, il contribuera à entretenir un beau qui sera interdit: il ouvrira une jolie boutique de chapeau cage à oiseaux.
L'arrivée d'un petit oiseau un peu maladif et mal fichu forcera un peu Monsieur D.Zert à revenir sur cette injuste dictature du regard.
Le personnage nous amusera, avec sa bouille d'oeuf à lunettes.
Nous comprendrons avec lui que " All we need is love" comme le pépiaient le groupe musical des " Beatles".
La chute sera inattendue et sans doute pas la fin à laquelle on se serait attendu.
L'intervention du merveilleux du début d'aventure permettra ceci.
Peut-être que les jeunes lecteurs se montreront imaginatifs et rêveront de leur propre fin idéale.
À découvrir.
Les jeunes lecteurs ne sauront pas forcément à quoi s'attendre avec un tel titre.
À quel choc s'attendre?
Nous nous sommes permis de le relire deux fois et étrangement, il eut meilleur goût et plus grande saveur, il fallait donc un temps, pour nous, pour que le charme agisse.
C'est une drôle d'histoire, farfelue et pourtant bien triste, amère. Une tablette de chocolat amer.
L'auteure Estelle Vonfeldt nous contera un monde imaginaire, urbain, qui ressemble au notre.
Tous les habitants y naissent avec une plante sur la tête. Oui, vous avez bien entendu. Personne ne sait vraiment pourquoi. Toujours est-il que chacun a son idée et son interprétation sur ces plantes, celle qui remporte le plus d'adhésion: ces natures vertes révèlent ce que vous êtes .
On comprend qu'il est plus rassurant de pourvoir définir les gens, de savoir à qui ont à affaire.
Ce monde est simple et pourtant si attaché au repère du beau.
Imaginez, chers jeunes lecteurs, vous qui n'avez pas de plantes sur la tête.
Ça sera le cas de notre héros.
Il est un peu contraignant de ne pas se sentir comme les autres, qu'on vous le fasse sentir et c'est pire en grandissant.
Pourtant la vie contine et Monsieur D. Zert se trouvera une utilité dans cette drôle de société, il contribuera à entretenir un beau qui sera interdit: il ouvrira une jolie boutique de chapeau cage à oiseaux.
L'arrivée d'un petit oiseau un peu maladif et mal fichu forcera un peu Monsieur D.Zert à revenir sur cette injuste dictature du regard.
Le personnage nous amusera, avec sa bouille d'oeuf à lunettes.
Nous comprendrons avec lui que " All we need is love" comme le pépiaient le groupe musical des " Beatles".
La chute sera inattendue et sans doute pas la fin à laquelle on se serait attendu.
L'intervention du merveilleux du début d'aventure permettra ceci.
Peut-être que les jeunes lecteurs se montreront imaginatifs et rêveront de leur propre fin idéale.
À découvrir.
