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Critique de Davalian


C'est finalement sous un titre plus prometteur que l'on découvre ce neuvième album de la série IRS. Celui-ci nous réserve un programme chargé puisqu'il est non seulement question de la banque vaticane mais également d'un trésor de guerre nazi.

Pour l'instant il n'y a pas de lien avec les deux premiers tomes de la série. Comme pour le prouver, Larry va devoir voyager de Los Angeles à la Jamaïque avant de partir en Italie. le rythme est assez intense et pourtant les scènes d'action ne sont pas aussi nombreuses que de coutume. Assurément le scénario est bien maîtrisé, même s'il peut laisser quelques inquiétudes pour la suite, notamment pour celles et ceux qui ne connaissent pas la série le scorpion.

Dès les premières planches, nous savons que nous allons devoir composer avec un album un peu différent et avec un invité : Enrico Marini. Il est même question d'une tête (peut-être connue) : Armando. Les fans seront ravis bien qu'en territoire connu (pour le fonds). Les dessins de Vrancken atteignent ici un sommet. Les retours en arrière ajoutent une touche supplémentaire, fort plaisante (malgré les thèmes évoqués).

Une petite déception doit être signalée : Larry himself ! le chevalier aux cheveux blancs du fisc nous réserve des surprises qui risquent de lui ôter une partie de son capital sympathie. Certes le personnage devient plus complexe mais... nous offrir cela après avoir libéré Gloria ! Pourquoi ? Il faudra attendre encore un peu, mais les plus impatients pourront être déroutés...

Voici donc une bonne surprise. Assurément, il s'agit de l'un des meilleurs albums de la série !
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