La guerre d'Algérie est terminée, seule reste française l'enclave algéroise. A partir de là, l'auteur invente les "Vautriens", des sortes d'hippies et l'on découvre la Californie des "sixties" à la mode Algéroise. C'est assez déroutant. Il semble que
Roland C. Wagner nous parle de ce qu'il connait, les événements d'Algérie, le milieu des Hippies et qu'il se soit contenté de les transposer dans une Algérie futuriste, même si elle reste contemporaine. Quant au récit proprement dit, son manque de fluidité, sa polyphonie, ses changements d'époques, les méandres empruntés en font une lecture qui tend à semer son lecteur dans la Casbah. Malgré l'épaisseur du livre, j'ai la désagréable impréssion que l'intrigue se résume à peu de chose.
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