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Critique de JeromeJeanJacques
L'écriture est exigeante, je n'ai pu arriver à terme du livre.
C'est une grande frustration pour moi, mais je n'ai pas la sensibilité pour être en phase avec le grand Walser.
D'autant plus qu'il fut source d'inspiration pour d'autres auteurs que j'admire beaucoup — entre autres Kafka.
En parlant de références : ce livre m'a d'ailleurs évoqué en plusieurs points « l'élève Torless » de Musil. Dans les critiques des cours d'éducation étriqués, et des règlements absurdes.
R.W est un des piliers de la littérature germanique, en cela qu'il arrive souvent au quadrillage de grands noms européens.
Il est décevant à cause de l'impénétrabilité de son univers absurde ; de son éloge de la servitude notamment… ce qui lui aurait fait plaisir à entendre.
C'est une grande frustration pour moi, mais je n'ai pas la sensibilité pour être en phase avec le grand Walser.
D'autant plus qu'il fut source d'inspiration pour d'autres auteurs que j'admire beaucoup — entre autres Kafka.
En parlant de références : ce livre m'a d'ailleurs évoqué en plusieurs points « l'élève Torless » de Musil. Dans les critiques des cours d'éducation étriqués, et des règlements absurdes.
R.W est un des piliers de la littérature germanique, en cela qu'il arrive souvent au quadrillage de grands noms européens.
Il est décevant à cause de l'impénétrabilité de son univers absurde ; de son éloge de la servitude notamment… ce qui lui aurait fait plaisir à entendre.
