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Critique de Lucas_Blanchard
Le troisième et dernier roman d'une trilogie que j'apprécie tout particulièrement malgré sa relative obscurité (il est tout de même question de romans paru au fleuve noir).
Dans ce dernier opus, l'histoire redouble en intensité, imitant à nouveau le cinéma de genre hollywoodien des années 80 par son excès systématique, que ce soit la violence, le sexe et les caractères. Il fait toujours froid, les personnages sont toujours en danger et rencontre toujours des opposants machiavéliques.
La prose de Walther se couple magnifiquement à cette atmosphère des extrêmes et à cette noirceur constante dans lequel baigne toute l'histoire. C'est d'ailleurs ce qui démarque cette histoire du flot de romans publié au fleuve noir dans les années de parution de cette trilogie. Walther sait si bien nous conter son histoire sanglante et glaciale qu'on en vient à oublier l'histoire et le manque de profondeur de ses personnages.
Néanmoins, ce grand problème qui est aussi la force de la trilogie est tempéré ici par une histoire plus engageante et complexe que dans les deux autres épisodes du jeune Swa. Cela est surtout dû à l'ajout de la sous-intrigue politique de la duchesse Dunja, dans laquel on retrouve ledit personnages introduit dans le deuxième roman. de retour dans son royaume, on assiste alors à la façon dont celle-ci s'y prend pour contrer le complot et la tentative de meurtre à son égard. C'est à travers cette optique que ce joue toutes les discussions qu'a la duchesse avec sa "dame de compagnie" et le suspens que parvient à créer cette situation ainsi que la justesse avec laquelle nous sont rapportés les sentiments de chaque personnages parvient à nous garder intéressé, sans même que l'auteur est recours à son style ensorcelant.
Le mélange de cette histoire et de la chasse à l'homme contre Swa rend le récit plus intéressant, de même que le rattachement final de ces deux histoires ensemble démontre une intention et une exécution plus développée que dans le roman précédent.
J'ai donc beaucoup aimé La légende de Swa. Bien que celui-ci n'atteigne pas le niveau du premier roman, il fini bien la trilogie et justifie la lecture des trois opus.
Dans ce dernier opus, l'histoire redouble en intensité, imitant à nouveau le cinéma de genre hollywoodien des années 80 par son excès systématique, que ce soit la violence, le sexe et les caractères. Il fait toujours froid, les personnages sont toujours en danger et rencontre toujours des opposants machiavéliques.
La prose de Walther se couple magnifiquement à cette atmosphère des extrêmes et à cette noirceur constante dans lequel baigne toute l'histoire. C'est d'ailleurs ce qui démarque cette histoire du flot de romans publié au fleuve noir dans les années de parution de cette trilogie. Walther sait si bien nous conter son histoire sanglante et glaciale qu'on en vient à oublier l'histoire et le manque de profondeur de ses personnages.
Néanmoins, ce grand problème qui est aussi la force de la trilogie est tempéré ici par une histoire plus engageante et complexe que dans les deux autres épisodes du jeune Swa. Cela est surtout dû à l'ajout de la sous-intrigue politique de la duchesse Dunja, dans laquel on retrouve ledit personnages introduit dans le deuxième roman. de retour dans son royaume, on assiste alors à la façon dont celle-ci s'y prend pour contrer le complot et la tentative de meurtre à son égard. C'est à travers cette optique que ce joue toutes les discussions qu'a la duchesse avec sa "dame de compagnie" et le suspens que parvient à créer cette situation ainsi que la justesse avec laquelle nous sont rapportés les sentiments de chaque personnages parvient à nous garder intéressé, sans même que l'auteur est recours à son style ensorcelant.
Le mélange de cette histoire et de la chasse à l'homme contre Swa rend le récit plus intéressant, de même que le rattachement final de ces deux histoires ensemble démontre une intention et une exécution plus développée que dans le roman précédent.
J'ai donc beaucoup aimé La légende de Swa. Bien que celui-ci n'atteigne pas le niveau du premier roman, il fini bien la trilogie et justifie la lecture des trois opus.
