Après deux premiers « podcasts » un peu trop faciles, même si l'on reconnaît à l'auteur le courage de s'être attelé à une forme certes originale mais néanmoins, comment dire, casse gueule , ce troisième opus, plus court, est un cran au-dessus des deux autres. Inutile d'en dévoiler trop, Oh, bien sûr on peut se douter de la fin sans avoir besoin de prendre des notes, mais le thème abordé rend ce « disparu » non pas inoubliable, mais à un certain degré « marquant ».
La fin ne me poussera pas à lire le 4e opus tant la boucle semble bouclée.
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