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Critique de Kenehan
Turbulence :
Joss Whedon a créé une héroine forte, loin des clichés habituels. Buffy est une jeune femme moderne qui n'a par exemple pas besoin de porter des tenues affriolantes pour subsister. Ce n'est pas une création machiste, mais plutôt un hommage ou un éloge aux femmes. Tout au long de la série, qui se poursuit ici, on a pu voir les forces et les faiblesses de Buffy et voilà que sa force atteint son paroxysme : Buffy devient SuperBuffy !
Quand on sait que Joss Whedon est un grand amateur de comics et qu'il en a notamment produit quelques-uns pour Marvel (à vérifier!), ça devient tout de suite plus logique qu'en fin de compte Buffy se retrouve avec des super-pouvoirs dignes des plus célèbre super-héros.
Après un combat sans magie, voilà un combat booster comme jamais par la magie !
Crépuscule :
L'épisode des révélations : révélation de l'identité de Crépuscule, révélation de la prophétie concernant la tueuse, révélation concernant toute l'histoire de Buffy, son destin. C'est donc un pilier central du buffyverse, une clé de voute qui apporte une toute nouvelle dimension à l'ensemble de la série.
Après on aime ou on aime pas ce que Joss Whedon a réservé à notre tueuse préférée. A la première lecture je fus un peu dubitatif, il faut dire que la pilule est un peu lourde à avaler. Mais c'est aussi le cas pour Buffy et ses amis. A la seconde lecture, la pilule passe beaucoup mieux et j'ai trouvé l'idée plus qu'intéressante.
La seule différence, c'est qu'à la seconde lecture, il n'y a plus vraiment de révélation, on peut donc plus se concentrer sur cette vision que Joss Whedon nous donne.
Déesses et monstres :
Un peu plus difficile à resituer dans la chronologie, cette histoire nous dévoile un peu plus le parcours de Willow en tant que sorcière. C'est plutôt sympa surtout que ces passages là étaient plutôt discrets et mystérieux je trouve. Mais pour le coup, je ne trouve pas ce comics à sa place dans ce tome… Il aurait été mieux un peu plus tôt…
Pour ne pas changer, j'adore toujours autant le travail de Jo Chen, et plus particulièrement celui sur sa couverture numéro 34. Mais un petit coup de coeur aussi pour la numéro 31 de Georges Jeanty avec son style un peu pop art.
Joss Whedon a créé une héroine forte, loin des clichés habituels. Buffy est une jeune femme moderne qui n'a par exemple pas besoin de porter des tenues affriolantes pour subsister. Ce n'est pas une création machiste, mais plutôt un hommage ou un éloge aux femmes. Tout au long de la série, qui se poursuit ici, on a pu voir les forces et les faiblesses de Buffy et voilà que sa force atteint son paroxysme : Buffy devient SuperBuffy !
Quand on sait que Joss Whedon est un grand amateur de comics et qu'il en a notamment produit quelques-uns pour Marvel (à vérifier!), ça devient tout de suite plus logique qu'en fin de compte Buffy se retrouve avec des super-pouvoirs dignes des plus célèbre super-héros.
Après un combat sans magie, voilà un combat booster comme jamais par la magie !
Crépuscule :
L'épisode des révélations : révélation de l'identité de Crépuscule, révélation de la prophétie concernant la tueuse, révélation concernant toute l'histoire de Buffy, son destin. C'est donc un pilier central du buffyverse, une clé de voute qui apporte une toute nouvelle dimension à l'ensemble de la série.
Après on aime ou on aime pas ce que Joss Whedon a réservé à notre tueuse préférée. A la première lecture je fus un peu dubitatif, il faut dire que la pilule est un peu lourde à avaler. Mais c'est aussi le cas pour Buffy et ses amis. A la seconde lecture, la pilule passe beaucoup mieux et j'ai trouvé l'idée plus qu'intéressante.
La seule différence, c'est qu'à la seconde lecture, il n'y a plus vraiment de révélation, on peut donc plus se concentrer sur cette vision que Joss Whedon nous donne.
Déesses et monstres :
Un peu plus difficile à resituer dans la chronologie, cette histoire nous dévoile un peu plus le parcours de Willow en tant que sorcière. C'est plutôt sympa surtout que ces passages là étaient plutôt discrets et mystérieux je trouve. Mais pour le coup, je ne trouve pas ce comics à sa place dans ce tome… Il aurait été mieux un peu plus tôt…
Pour ne pas changer, j'adore toujours autant le travail de Jo Chen, et plus particulièrement celui sur sa couverture numéro 34. Mais un petit coup de coeur aussi pour la numéro 31 de Georges Jeanty avec son style un peu pop art.
