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Critique de VALENTYNE
Tout commence avec un naufragé. Il est seul depuis deux jours sur un canot pneumatique en proie à la chaleur le jour, le froid la nuit, la faim et la soif en permanence :
Quelque part au sud de l'équateur en direction de Manille.
Heureusement un bateau de commerce s'arrête avant l'issue probable et le repêche. L'homme en question, Goddard, est producteur de cinéma à Hollywood.
Et venir du cinema va l'aider dans cette aventure qui lui donne l'impression de se retrouver spectateur d'une représentation exceptionnelle : l'équipage est composé d'un quarantaine d'hommes auxquels se rajoute 4 passagers « payants » : deux hommes et deux femmes.
Un milieu très masculin donc où rapidement Goddard va être témoin d'un assassinat : coup de folie ou coup de théâtre ?
En tout cas, c'est un livre mené tambour battant, subtil (quelques réflexions sexistes mais bon c'est un livre des années 70), avec des rebondissements, des faux semblants et une belle tempête…
Je suis ravie de cette lecture !
Quelque part au sud de l'équateur en direction de Manille.
Heureusement un bateau de commerce s'arrête avant l'issue probable et le repêche. L'homme en question, Goddard, est producteur de cinéma à Hollywood.
Et venir du cinema va l'aider dans cette aventure qui lui donne l'impression de se retrouver spectateur d'une représentation exceptionnelle : l'équipage est composé d'un quarantaine d'hommes auxquels se rajoute 4 passagers « payants » : deux hommes et deux femmes.
Un milieu très masculin donc où rapidement Goddard va être témoin d'un assassinat : coup de folie ou coup de théâtre ?
En tout cas, c'est un livre mené tambour battant, subtil (quelques réflexions sexistes mais bon c'est un livre des années 70), avec des rebondissements, des faux semblants et une belle tempête…
Je suis ravie de cette lecture !
