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Critique de Strabissime
📖 J'ai envie de comparer cette lecture avec un plongeon dans un cours d'eau qui a une source et une embouchure. J'ai plongé dans les pages pour atterrir en 1944 au côté d'Ulysses et d'Evelyn, deux personnes qui passent une soirée à parler d'art durant la guerre. A la fin du conflit mondial, Ulysses retourne à sa vie londonienne auprès de sa famille de coeur jusqu'à une opportunité qui va se présenter à lui et le conduire à Florence. Les années ont alors défilé jusqu'en 1979.
💔 Une lecture en demie teinte malheureusement et je vous explique pourquoi 👇🏻
😍 J'ai adoré les personnages, en 600 pages et 35 ans j'ai eu le temps d'apprendre à les connaitre et m'attacher à eux. Ulysses est loyal, figure travaillée du héros. Evelyn est une femme avant-gardiste, amoureuse de l'art et des femmes. Il y a aussi Cresson qui est la sagesse incarnée, "la môme" qui est sacrément mature, Peggy, Pete, Col... Une grande famille de coeur que les années ne vont cesser de rassembler et en ce sens, l'amour demeure. J'ai aimé l'amour présenté sous ces différentes formes : amical, maternel ou encore l'amour pour l'art ou une ville. Rattacher l'histoire à des évènements historiques tout en travaillant bien les personnages apportent un belle touche de réalisme.
🤨 Ca a l'air sympa, alors quoi ? me direz-vous. Et bien l'absence de chapitre a considérablement entachée ma lecture. Il y a des grandes parties regroupant une période de plusieurs années mais j'ai trouvé cette structure lourde. L'écriture est lente malgré des dialogues parfois dynamique avec des personnages qui ne manquent pas de répartie.
Si je devrai résumer, l'histoire porte des personnages attachants et de belles valeurs mais elle n'a pas su me captiver.
💔 Une lecture en demie teinte malheureusement et je vous explique pourquoi 👇🏻
😍 J'ai adoré les personnages, en 600 pages et 35 ans j'ai eu le temps d'apprendre à les connaitre et m'attacher à eux. Ulysses est loyal, figure travaillée du héros. Evelyn est une femme avant-gardiste, amoureuse de l'art et des femmes. Il y a aussi Cresson qui est la sagesse incarnée, "la môme" qui est sacrément mature, Peggy, Pete, Col... Une grande famille de coeur que les années ne vont cesser de rassembler et en ce sens, l'amour demeure. J'ai aimé l'amour présenté sous ces différentes formes : amical, maternel ou encore l'amour pour l'art ou une ville. Rattacher l'histoire à des évènements historiques tout en travaillant bien les personnages apportent un belle touche de réalisme.
🤨 Ca a l'air sympa, alors quoi ? me direz-vous. Et bien l'absence de chapitre a considérablement entachée ma lecture. Il y a des grandes parties regroupant une période de plusieurs années mais j'ai trouvé cette structure lourde. L'écriture est lente malgré des dialogues parfois dynamique avec des personnages qui ne manquent pas de répartie.
Si je devrai résumer, l'histoire porte des personnages attachants et de belles valeurs mais elle n'a pas su me captiver.
