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Critique de Addy84
Mais quel final!
J'avais laissé Mamori le coeur en miettes (et le mien avec) à la fin du tome précédent.
Il me tardait donc de le retrouver et de poursuivre mon immersion au coeur de la societé japonaise.
J'ai vécu un incroyable moment de douceur dans le partage des traditions, concernant la kura mais également sur le déroulement et la signification de certaines fêtes.
Axel Witzke nous livre des moments exceptionnels que j'aurais aimé vivre avec nos personnages, car si notre écrivain excelle particulièrement dans la description des paysages, c'est bien la vie au sein de cette famille qui a capté toute mon attention dans cette partie finale.
Axel a su me prendre mes rires et mes larmes mais toujours avec une infinie tendresse.
Je retiens la métamorphose du personnage de Maya, que j'ai su enfin apprécier à sa juste valeur.
Mamori, qui m'a ému à de nombreuses reprises et sur différents sujets, notamment sur le fait de trouver sa place dans une famille qui exerce un métier au savoir-faire ancestral lorsque la société dans laquelle nous évoluons se modernise.
Cette mère dont la sagesse est inégalable.
Ce grand-père un peu austère qui ne dévoile aucun sentiment mais qui déborde d'amour pour son petit fils.
Tellement de moments forts et de partages!
Un de mes passages préférés est une métaphore concernant un abcès... mais vous ne la comprendrez qu'en lisant Consume.
Je quitte ces personnages le coeur un peu lourd et je ne peux que leur souhaiter le meilleur.
Je ne peux qu'attendre avec impatience de retrouver la plume subtile et poétique d'Axel Witzke.
J'avais laissé Mamori le coeur en miettes (et le mien avec) à la fin du tome précédent.
Il me tardait donc de le retrouver et de poursuivre mon immersion au coeur de la societé japonaise.
J'ai vécu un incroyable moment de douceur dans le partage des traditions, concernant la kura mais également sur le déroulement et la signification de certaines fêtes.
Axel Witzke nous livre des moments exceptionnels que j'aurais aimé vivre avec nos personnages, car si notre écrivain excelle particulièrement dans la description des paysages, c'est bien la vie au sein de cette famille qui a capté toute mon attention dans cette partie finale.
Axel a su me prendre mes rires et mes larmes mais toujours avec une infinie tendresse.
Je retiens la métamorphose du personnage de Maya, que j'ai su enfin apprécier à sa juste valeur.
Mamori, qui m'a ému à de nombreuses reprises et sur différents sujets, notamment sur le fait de trouver sa place dans une famille qui exerce un métier au savoir-faire ancestral lorsque la société dans laquelle nous évoluons se modernise.
Cette mère dont la sagesse est inégalable.
Ce grand-père un peu austère qui ne dévoile aucun sentiment mais qui déborde d'amour pour son petit fils.
Tellement de moments forts et de partages!
Un de mes passages préférés est une métaphore concernant un abcès... mais vous ne la comprendrez qu'en lisant Consume.
Je quitte ces personnages le coeur un peu lourd et je ne peux que leur souhaiter le meilleur.
Je ne peux qu'attendre avec impatience de retrouver la plume subtile et poétique d'Axel Witzke.
