Une ombre de cynisme, de vulgarité dont la frustration est crue contemporaine, plane de prime abord sur son roman qui plagie l'incurie de la prose de Houellbecq. Fort heureusement, Les amants réguliers ne se réduit pas à ce portrait esseulé de la sexualité moderne. Par une réflexion plutôt fine et passablement drôle, la dernière partie interroge les miroirs de la création littéraire.
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