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Critique de sassenach
Abby a quitté depuis longtemps la maison familiale à Chesepeake Shores et vit à New York où elle travaille dans le milieu de la finance et où elle élève seule ses deux jumelles depuis son divorce à l'amiable. Mais quand elle reçoit un coup de téléphone de Jess, sa plus jeune soeur, qu'Abby a élevé après leur départ de leur mère, elle n'hésite pas et retourne sur les lieux de son adolescence. Mais Abby ignore qu'elle va y retrouver Trace, son premier amour, qui va la forcer à rester dans le coin sous prétexte d'aider Jess à finir de mettre en place l'auberge que la jeune femme a acheté et a commencé à retaper …
Je ne connaissais pas du tout l'auteure et c'est principalement la couverture qui m'avait séduite, suffisamment pour tenter cette lecture. Hélas, je n'ai pas été passionnée par les aventures d'Abby et de toute sa famille peu commune. le style est quelconque mais ce n'est pas cela qui m'a dérangé. C'est surtout le fait que tout le monde est trop « beau », que les choses se passent bien trop bien (malgré quelques problèmes qui viennent à peine assombrir l'horizon, avec une solution qui ne fait surtout pas de vague) et que le déroulement de l'histoire est prévisible du début à la fin ! Cela m'a donc paru souvent très plat, sans relief et je me suis souvent ennuyée lors de cette lecture alors que, pourtant, il y avait matière à développer des personnages riches et profonds et une « intrigue » un peu plus conséquente, surtout que c'est le premier tome d'une trilogie. Mais si certaines questions restent en suspens à la fin du livre, il me semble que chaque tome va plutôt se concentrer sur différentes personnes et on peut donc considérer l'histoire principale de celui-ci comme terminée. J'aime bien être un peu « secouée » quand je lis un roman et là, tout est fait pour caresser les lectrices dans le sens du poil (car c'est un roman bien féminin mais pas forcément dans le meilleur sens, pas de doute là dessus !) et on croirait plonger dans un roman pré-formaté et toujours bien politiquement correct, avec pile les « bonnes » actions et les « bonnes » réactions aux bons moments. C'est un peu comme un dessert : un peu sucré, c'est sympa, trop, ça peut finir par écoeurer alors avant d'en être arriver là (car j'ai atteint ma limite de dose sucrée à la fin de ce roman, après, c'est le diabète qui me guette), je préfère arrêter là la lecture de cette trilogie : un tome m'a suffit !
Je ne connaissais pas du tout l'auteure et c'est principalement la couverture qui m'avait séduite, suffisamment pour tenter cette lecture. Hélas, je n'ai pas été passionnée par les aventures d'Abby et de toute sa famille peu commune. le style est quelconque mais ce n'est pas cela qui m'a dérangé. C'est surtout le fait que tout le monde est trop « beau », que les choses se passent bien trop bien (malgré quelques problèmes qui viennent à peine assombrir l'horizon, avec une solution qui ne fait surtout pas de vague) et que le déroulement de l'histoire est prévisible du début à la fin ! Cela m'a donc paru souvent très plat, sans relief et je me suis souvent ennuyée lors de cette lecture alors que, pourtant, il y avait matière à développer des personnages riches et profonds et une « intrigue » un peu plus conséquente, surtout que c'est le premier tome d'une trilogie. Mais si certaines questions restent en suspens à la fin du livre, il me semble que chaque tome va plutôt se concentrer sur différentes personnes et on peut donc considérer l'histoire principale de celui-ci comme terminée. J'aime bien être un peu « secouée » quand je lis un roman et là, tout est fait pour caresser les lectrices dans le sens du poil (car c'est un roman bien féminin mais pas forcément dans le meilleur sens, pas de doute là dessus !) et on croirait plonger dans un roman pré-formaté et toujours bien politiquement correct, avec pile les « bonnes » actions et les « bonnes » réactions aux bons moments. C'est un peu comme un dessert : un peu sucré, c'est sympa, trop, ça peut finir par écoeurer alors avant d'en être arriver là (car j'ai atteint ma limite de dose sucrée à la fin de ce roman, après, c'est le diabète qui me guette), je préfère arrêter là la lecture de cette trilogie : un tome m'a suffit !
