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Critique de Noctenbule


Dans le tome précédent, Tenya Yabuno faisait monter le suspens avec la rencontre de l'équipe du collège Raimon et l'équipe Zeus. Mais non, vous n'aurez pas le match en une dizaine de pages. le mangaka décide d'utiliser la pirouette narrative. Les gamins affrontent un autre adversaire avant, le collège Shuriken. Les joueurs utilisent des techniques de ninjas des plus malhonnêtes pour gagner à tout prix. Sans surprise, grâce à la solidarité des copains, les futurs Inazuma Eleven gagnent. Mais non, vous n'aurez toujours pas le droit tout de suite au match tant attendue. On fait un aparté sur le capitaine, Mark Evans, qui apprend que son papi chéri n'est pas mort d'un simple accident. Non, le très gros vilain déjà rencontré est derrière tout ça. Que fait la police? Elle tente de l'arrêter. Toutefois, les preuves sont trop difficile à trouver, pour l'instant. le goal est tourneboulé à présent même s'il refuse de le montrer. Quand enfin, on arrive au moment fatidique, c'est la débandade. le moral n'y est pas. Quelle fine stratégie jouer par l'adversaire. Cela sera t'il suffisant pour les déstabiliser? Bien entendu que non. La réponse se fera concrètement dans le tome 6. On s'étonne car il reste encore de nombreuses pages dans l'ouvrage que nous tenons dans nos mains. On fait encore une digression et sur un concurrent gentil. Mark va se faire un nouvel ami? Ca commence à traîner en longueur en appuyant encore sur l'angle manichéen, très classique.
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