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Critique de Tbilissi
Ouh là là, pourtant admiratrice de la série Thorgal je n'ai pas du tout, mais alors pas du tout aimé cet album.
Le personnage principal, Slive, a été découvert dans l'album précédent. On en apprend plus sur elle, qui semble venir de la même planète que Thorgal. Pas de quoi faire frémir cependant, tant la chose est amenée platement et sans originalité malgré les tentatives de référence à l'excellent septième album, "l'enfant des étoiles". On touche le fond lorsque Slive envoie un texto, ou du moins quelque chose qui y ressemble grandement, pour que l'on vienne la secourir. L'intrigue, poussive, est faite de flashbacks mal délimités qui perdent le lecteur et de micro-événements sans intérêt (Solveig l'amie d'enfance d'Aaricia est amoureuse de Thorgal depuis toujours, ah...), patinant sévèrement puisque Thorgal passe son temps à chercher Aaricia en vain, pendant qu'elle pense à son bien-aimé. Une apparition de Vigird sous forme d'oiseau, un énième dérapage de Gandalf-le-fou, rien de nouveau sous e solei du nord.
Je n'aime décidément pas cette série dérivée des mondes de Thorgal, qui dévoie l'enfance et l'adolescence de Thorgal et Aaricia, si magnifiquement présentées dans la série originelle.
Le personnage principal, Slive, a été découvert dans l'album précédent. On en apprend plus sur elle, qui semble venir de la même planète que Thorgal. Pas de quoi faire frémir cependant, tant la chose est amenée platement et sans originalité malgré les tentatives de référence à l'excellent septième album, "l'enfant des étoiles". On touche le fond lorsque Slive envoie un texto, ou du moins quelque chose qui y ressemble grandement, pour que l'on vienne la secourir. L'intrigue, poussive, est faite de flashbacks mal délimités qui perdent le lecteur et de micro-événements sans intérêt (Solveig l'amie d'enfance d'Aaricia est amoureuse de Thorgal depuis toujours, ah...), patinant sévèrement puisque Thorgal passe son temps à chercher Aaricia en vain, pendant qu'elle pense à son bien-aimé. Une apparition de Vigird sous forme d'oiseau, un énième dérapage de Gandalf-le-fou, rien de nouveau sous e solei du nord.
Je n'aime décidément pas cette série dérivée des mondes de Thorgal, qui dévoie l'enfance et l'adolescence de Thorgal et Aaricia, si magnifiquement présentées dans la série originelle.
