Sauvage, tome 1 : Les damnés d'Oaxaca

Suivant une promesse familiale au très pavé père Lachaise, Sauvage aurait pu maudire ses ancêtres tout en tombant amoureux d'une sorcière aux yeux rouges mais décide plutôt de mijoter sous le soleil du Mexique dans un beau costume de soldat tout en veston et drap de velours.

Là bas c'est paw paw argl paf mesquineries et dur quotidien des conflits armés qui aurait pu se suivre tranquille (le dessin est classe, le découpage impec) si les personnages aux cheveux blonds n'avaient pas tous la même tête rendant parfois fastidieuse la lecture. Et si, les jeunes femmes (outre capables et affirmées) ne bénéficiaient pas d'un décolletage/relevage de jupons à outrance. Non monsieur une femme en bédé ça doit montrer nénés et culottes échancrées. Sinon pourquoi en mettre mmmh ?
(Égalité hurle-je !!! TouS à pwal !)
(Luria, autoproclamée féministe de la bande dessinée)