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Critique de Castille_
Ce sont 29 histoires de vie dans un "boui-boui"' ouvert seulement la nuit. La carte est petite et de saison puisque une des particularité est que le patron prépare la plat que vous souhaitez pourvu qu'il ait les ingrédients.
Tout ceci est un prétexte pour rencontrer des personnes hautes en couleur, au destin particulier ou plus complexes qu'il y paraît.
Nous rencontrons par exemple le yakuza qui se lie d'amitié avec une vieille dame grâce au plat qu'ils affectionnent tous les deux. Un soir, la dame apprend qu'il a été blessé, elle lui apportera son plat préféré tous les jour de sa convalescence.
Ou alors ce type qui rencontre une très belle policière mais le patron lui apprend qu'elle est transsexuelle, il peut pas accepter ça et un autre client intervient en lui disant "donc tu préfères une femme moche plutôt qu'une trans qui te plaît", depuis ils filent tous les deux le parfait amour.
Chaque histoire est découpée par nuit, il y en a 29. C'est drôle, émouvant, ça ouvre à réflexion. C'est une belle critique de la société moderne.
Tout ceci est un prétexte pour rencontrer des personnes hautes en couleur, au destin particulier ou plus complexes qu'il y paraît.
Nous rencontrons par exemple le yakuza qui se lie d'amitié avec une vieille dame grâce au plat qu'ils affectionnent tous les deux. Un soir, la dame apprend qu'il a été blessé, elle lui apportera son plat préféré tous les jour de sa convalescence.
Ou alors ce type qui rencontre une très belle policière mais le patron lui apprend qu'elle est transsexuelle, il peut pas accepter ça et un autre client intervient en lui disant "donc tu préfères une femme moche plutôt qu'une trans qui te plaît", depuis ils filent tous les deux le parfait amour.
Chaque histoire est découpée par nuit, il y en a 29. C'est drôle, émouvant, ça ouvre à réflexion. C'est une belle critique de la société moderne.
