Lu dans le cadre du challenge Globe-trotteur.
Aborder la littérature turque par "
La moustache" n'a pas été vraiment un bon choix.
Certes un des personnages principaux est bien une moustache, et en Turquie,
la moustache semble avoir été à connotations sociales et politiques.
C'est aussi l'histoire de celui qui la porte : Cumali qui se laisse embrigader par le barbier du bourg qui va lui créer une moustache virile à double crochets vers le haut tout en l'influençant sur d'autres points au nom de la tradition.
Comme l'annonce l'éditeur, je m'attendais à "Une fable philosophique toute en finesse", à quelque chose d'amusant, de caricatural.
Hélas, si la première partie est franchement captivante et drôle, l'histoire finit par s'enliser à mon goût. Je n'ai pas réussi à saisir les visées de l'auteur.
Dommage.
Commenter  J’apprécie         50