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Critique de Hiromichi
De visu, la couverture ne me plaisait pas des masses et le résumé pas beaucoup plus, donc c'est avec un grand scepticisme (et une grosse curiosité, je l'avoue) que j'ai commencé ce premier volume.
Le pitch ? Une école de riches, élites, et anciennement pour filles, on y observe ainsi que peu de mâles se battant en duel dans ce monde féminin.... Sauf que... sauf que non, ils ne se battent pas trop en duel et essayent plutôt de survivre en milieu hostile. En effet, les filles doivent garder un certain niveau intellectuel, de ce fait elles sont très stressées et de ce fait elles ont les hormones en folie, attention à vous les gars, la chasse est ouverte !
Nous allons donc suivre dans ce milieu un petit nouveau, Mizutani, plutôt beau gosse qui ne sait pas ce qui l'attend, et qui va prendre la moins folle du lot de lycéennes en fausse petite-amie pour éviter de se faire violer. La chanceuse (ou pas), c'est Okitsu, la fille passe-partout qui essaye seulement de faire le moins de vague possible. Jeune fille peu intégrée, sans vraiment d'amis, mais avec un beau physique caché derrière une façade de première de la classe, cela la met sous les projecteurs sans qu'elle l'ait voulu et... c'est le drame.
Oui, le pitch n'est pas du tout rassurant, mais alors pas du tout, c'est limite rabaissant, non ça l'est même, les filles sont... Hum comment vous dire ? Je crois que l'extérieur du lycée n'existe pas, oui, il n'y a dans cette ville que la dizaine de mâles du bahut ! Ce n'est pas possible sinon. Bref, pas réaliste pour un sous, faisant passer les filles pour des chiennes en chaleur (oui soyons franc).
Mais, oui, car y'a un mais quand même, malgré le fait que le thème soit très bizarre, j'ai étrangement adhéré à la folie ambiante ! Tout est prétexte à coller nos deux héros ensemble, mais c'est plutôt sympa. Ça nous vide le cerveau, c'est débilisant et ça peut même nous faire grimper au rideau tellement on a envie de frapper tout le monde (parfois), mais ça vide l'esprit. Certains faits vont vraiment très loin, on passe par un peu de tout, harcèlement, tentative de viol, séquestration, agression sexuelle et intimidation, mais les choses vont tellement loin que cela passe, étrangement le contexte fait passer la pilule. On ne prend pas l'ensemble au sérieux, la série ne se veut pas sérieuse, elle fait passer un fantasme, un délire donc les choses les plus graves passent
L'héroïne est forte, mais elle n'est pas sur-humaine non plus, elle s'en prendra plein la gueule, mais Mizutani n'est pas en reste non plus. On découvre aussi la bande de mecs du lycée qui s'arrangent comme ils peuvent, chacun sa façon de gérer la libido féminine, chacun a son truc, sa compétence, nous avons ici tout un bloc de prototypes de mâles très stéréotypés (mec choupi, mec à lunette, mec froid~ etc), mais il y en a pour tous les goûts et surtout, ça passe, c'est kitchissime mais ça passe et on adhère (presque à tout).
Lire ce premier volume a été une claque, c'est un peu du "sors du monde réelle et viens à connerie-land" mais on adhère (ou pas), et la fin est plutôt claironnante de ce fait, on ne veut faire qu'une chose : se jeter sur la suite. (si on a accroché, sinon on veut juste brûler le bouquin)
Niveau des dessins, j'avoue que ça dépend des planches, le style n'est pas mauvais mais parfois ça laisse à désirer, mais dans son ensemble, cela colle parfaitement avec le manga. Pour l'héroïne, j'avoue que je suis encore septique, j'hésite à vouloir qu'elle reste plutôt à couettes et à lunettes plutôt qu'elle ne se transforme en bonasse (oulà, je deviens vulgaire), je veux dire en trop jolie fille pour qu'on y croit.
En tout cas, lorsque l'on ressort de ce manga on n'a qu'une chose en tête : les filles, elles sont flippantes !
Lien : http://hiromichi.skyrock.com..
Le pitch ? Une école de riches, élites, et anciennement pour filles, on y observe ainsi que peu de mâles se battant en duel dans ce monde féminin.... Sauf que... sauf que non, ils ne se battent pas trop en duel et essayent plutôt de survivre en milieu hostile. En effet, les filles doivent garder un certain niveau intellectuel, de ce fait elles sont très stressées et de ce fait elles ont les hormones en folie, attention à vous les gars, la chasse est ouverte !
Nous allons donc suivre dans ce milieu un petit nouveau, Mizutani, plutôt beau gosse qui ne sait pas ce qui l'attend, et qui va prendre la moins folle du lot de lycéennes en fausse petite-amie pour éviter de se faire violer. La chanceuse (ou pas), c'est Okitsu, la fille passe-partout qui essaye seulement de faire le moins de vague possible. Jeune fille peu intégrée, sans vraiment d'amis, mais avec un beau physique caché derrière une façade de première de la classe, cela la met sous les projecteurs sans qu'elle l'ait voulu et... c'est le drame.
Oui, le pitch n'est pas du tout rassurant, mais alors pas du tout, c'est limite rabaissant, non ça l'est même, les filles sont... Hum comment vous dire ? Je crois que l'extérieur du lycée n'existe pas, oui, il n'y a dans cette ville que la dizaine de mâles du bahut ! Ce n'est pas possible sinon. Bref, pas réaliste pour un sous, faisant passer les filles pour des chiennes en chaleur (oui soyons franc).
Mais, oui, car y'a un mais quand même, malgré le fait que le thème soit très bizarre, j'ai étrangement adhéré à la folie ambiante ! Tout est prétexte à coller nos deux héros ensemble, mais c'est plutôt sympa. Ça nous vide le cerveau, c'est débilisant et ça peut même nous faire grimper au rideau tellement on a envie de frapper tout le monde (parfois), mais ça vide l'esprit. Certains faits vont vraiment très loin, on passe par un peu de tout, harcèlement, tentative de viol, séquestration, agression sexuelle et intimidation, mais les choses vont tellement loin que cela passe, étrangement le contexte fait passer la pilule. On ne prend pas l'ensemble au sérieux, la série ne se veut pas sérieuse, elle fait passer un fantasme, un délire donc les choses les plus graves passent
L'héroïne est forte, mais elle n'est pas sur-humaine non plus, elle s'en prendra plein la gueule, mais Mizutani n'est pas en reste non plus. On découvre aussi la bande de mecs du lycée qui s'arrangent comme ils peuvent, chacun sa façon de gérer la libido féminine, chacun a son truc, sa compétence, nous avons ici tout un bloc de prototypes de mâles très stéréotypés (mec choupi, mec à lunette, mec froid~ etc), mais il y en a pour tous les goûts et surtout, ça passe, c'est kitchissime mais ça passe et on adhère (presque à tout).
Lire ce premier volume a été une claque, c'est un peu du "sors du monde réelle et viens à connerie-land" mais on adhère (ou pas), et la fin est plutôt claironnante de ce fait, on ne veut faire qu'une chose : se jeter sur la suite. (si on a accroché, sinon on veut juste brûler le bouquin)
Niveau des dessins, j'avoue que ça dépend des planches, le style n'est pas mauvais mais parfois ça laisse à désirer, mais dans son ensemble, cela colle parfaitement avec le manga. Pour l'héroïne, j'avoue que je suis encore septique, j'hésite à vouloir qu'elle reste plutôt à couettes et à lunettes plutôt qu'elle ne se transforme en bonasse (oulà, je deviens vulgaire), je veux dire en trop jolie fille pour qu'on y croit.
En tout cas, lorsque l'on ressort de ce manga on n'a qu'une chose en tête : les filles, elles sont flippantes !
Lien : http://hiromichi.skyrock.com..
