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Critique de LoupAlunettes
Une nouvelle série à proposer.
Le style Disney d'Antonello Danela devrait plaire, il est à rapprocher du travail des auteurs italiens Alessandro Barbucci, Barbara Canepa, très inspirés du Disney style également et tous issus de leurs studios.
Tout ce petit monde s'est déja croisé sur la BD très appréciée " Monster Allergy".
Hercule.
Un prénom qui nous inspire de la puissance et de la force.
Le héros ne sera pas encore de cette trempe, bien que râleur, il manque un peu d'assurance.
Il ne sera pas question de Mythologie grecque, nous naviguerons dans un genre SF avec ce très jeune agent intergalactique.
En réalité, Hercule est un enfant alien préposé à la défense des enfants de la galaxie ( c'est leur tâche), il se forme dans une école adéquate avec d'autres aliens.
Nous adoptons rapidement cette bouille toute bleue aux oreilles pointues, avec ces lunettes énormes qui lui mangent le visage.
Nous ne connaissons pas encore au début les conditions d'enrôlement de cette force armée de l'espace mais nous apprenons qu'Hercule remplace son frère, anéanti au champ d'honneur de l'espace ( il est en fait dans une sorte de coma profond).
Ces jeunes recrues devront s'endurcir, ils auront à redouter une bande d'énormes corbeaux menée par l'affreux Blackbird ( on a un méchant).
En attendant, c'est sur quelques devoirs scolaires qu'Hercule doit se débattre et faire ses preuves, sur l'étude du chapitre des humains ici.
Mais personne ne le croit lorsqu'il raconte qu'une terrienne s'est mise à dévorer des glaçons et s'est mise aussi à laisser tomber un chat du toît. Nous ne l'aurions pas cru nous non plus si nous ne l'avions pas vu sur les illustrations. Ce n'est pas un comportement très rationnel, surtout d'en être satisfait.
Cela va entrer dans l'une des intrigues du tome et Hercule aura coeur de revenir sur Terre pour comprendre et surtout qu'on lui change sa mauvaise note.
Les grandes lignes d'intrigue sont minces, cela s'adresse à un jeune public.
L'univers de la classe intergalactique est esthétiquement farfelu, les auteurs injectent beaucoup de jeu de comique pour divertir et cela compensera.
La véritable mission de secours d'Hercule commencera là, avec la petite Margot, il devra se montrer en réalité à l'écoute, de son problème de coeur brisé.
Ça sera la partie la plus sérieuse.
Ça se lit sans déplaisir et offre de la nouveauté.
Le style Disney d'Antonello Danela devrait plaire, il est à rapprocher du travail des auteurs italiens Alessandro Barbucci, Barbara Canepa, très inspirés du Disney style également et tous issus de leurs studios.
Tout ce petit monde s'est déja croisé sur la BD très appréciée " Monster Allergy".
Hercule.
Un prénom qui nous inspire de la puissance et de la force.
Le héros ne sera pas encore de cette trempe, bien que râleur, il manque un peu d'assurance.
Il ne sera pas question de Mythologie grecque, nous naviguerons dans un genre SF avec ce très jeune agent intergalactique.
En réalité, Hercule est un enfant alien préposé à la défense des enfants de la galaxie ( c'est leur tâche), il se forme dans une école adéquate avec d'autres aliens.
Nous adoptons rapidement cette bouille toute bleue aux oreilles pointues, avec ces lunettes énormes qui lui mangent le visage.
Nous ne connaissons pas encore au début les conditions d'enrôlement de cette force armée de l'espace mais nous apprenons qu'Hercule remplace son frère, anéanti au champ d'honneur de l'espace ( il est en fait dans une sorte de coma profond).
Ces jeunes recrues devront s'endurcir, ils auront à redouter une bande d'énormes corbeaux menée par l'affreux Blackbird ( on a un méchant).
En attendant, c'est sur quelques devoirs scolaires qu'Hercule doit se débattre et faire ses preuves, sur l'étude du chapitre des humains ici.
Mais personne ne le croit lorsqu'il raconte qu'une terrienne s'est mise à dévorer des glaçons et s'est mise aussi à laisser tomber un chat du toît. Nous ne l'aurions pas cru nous non plus si nous ne l'avions pas vu sur les illustrations. Ce n'est pas un comportement très rationnel, surtout d'en être satisfait.
Cela va entrer dans l'une des intrigues du tome et Hercule aura coeur de revenir sur Terre pour comprendre et surtout qu'on lui change sa mauvaise note.
Les grandes lignes d'intrigue sont minces, cela s'adresse à un jeune public.
L'univers de la classe intergalactique est esthétiquement farfelu, les auteurs injectent beaucoup de jeu de comique pour divertir et cela compensera.
La véritable mission de secours d'Hercule commencera là, avec la petite Margot, il devra se montrer en réalité à l'écoute, de son problème de coeur brisé.
Ça sera la partie la plus sérieuse.
Ça se lit sans déplaisir et offre de la nouveauté.
