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Critique de valest
Dans une chambre d'hôpital psychiatrique. Un homme, amnésique, se réveille, jambe plâtrée. Il brise son plâtre (sa jambe est de toute façon guérie) et parvient à s'enfuir en assommant l'infirmier. Avant de quitter les lieux, il apprend qu'il s'appellerait Carl Corey, qu'il aurait été victime d'un accident de la route, et qu'il aurait été interné dans le service psychiatrique de cet hôpital, situé à New York, par sa soeur.
Premier tome d'un cycle qui en compte dix, les neuf princes d'Ambre n'aborde qu'une fraction très limitée de l'intrigue de la saga. Un récit extrêmement bien rythmé façon roman policier, dans un monde contemporain quoique très particulier.
Mais il s'agit bien d'une série fantastique, dont le personnage principal est la cité d'Ambre, magnifique, immortelle, au centre de toutes choses, avec une infinité d'univers parallèles en révolution autour d'elle.
Depuis que son roi Obéron a disparu, sa quinzaine de fils et filles convoite son trône, une guerre fratricide sans merci, des personnages débordant de classe et de panache, un univers à la fois poétique et cruel, qui donne une nouvelle jeunesse aux contes de fées.
Une grande épopée fantastique dont je ne me lasse pas.
Premier tome d'un cycle qui en compte dix, les neuf princes d'Ambre n'aborde qu'une fraction très limitée de l'intrigue de la saga. Un récit extrêmement bien rythmé façon roman policier, dans un monde contemporain quoique très particulier.
Mais il s'agit bien d'une série fantastique, dont le personnage principal est la cité d'Ambre, magnifique, immortelle, au centre de toutes choses, avec une infinité d'univers parallèles en révolution autour d'elle.
Depuis que son roi Obéron a disparu, sa quinzaine de fils et filles convoite son trône, une guerre fratricide sans merci, des personnages débordant de classe et de panache, un univers à la fois poétique et cruel, qui donne une nouvelle jeunesse aux contes de fées.
Une grande épopée fantastique dont je ne me lasse pas.
