L'intérêt certain pour les faits et le contexte historique est desservi par une écriture au style plus journalistique que romanesque, qui s'attache trop souvent à raconter formellement en oubliant de véhiculer des émotions.
Ce livre aurait par ailleurs grandement bénéficié d'un élagage d'une bonne cinquantaine de pages tant
Alice Zeniter se perd en lourdeurs inutiles, empilant les descriptifs exhaustifs, abusant de détails ou de digressions qui rendent la lecture trop indigeste.
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