Débutant comme une suite de nouvelles, les morceaux finissent par se recoller, une petite librairie de village, Madame Kera, Ania, Yasmine...
Une ambiance qui m'évoquait un peu la papeterie Tsubaki.
Femmes empêchées (en Algérie) fait référence à celles qui par manque de moyen doivent avorter ou abandonner l'enfant mais
Leïla Zerhouni aborde aussi la quête de l'enfant pour sa mère biologique et aussi aux mots que celle-ci voudrait lui transmettre : 'Je ne t'ai pas désirée mais je t'ai tant aimée'
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