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Critique de polly013
Dima, notre narrateur est un agent de l'ombre, sa vie est faite de missions secrètes, sa vie à été mise entre parenthèses. L'auteur nous entraîne dans le monde des « espions », dans un monde sombres et poignants. Ces hommes qui oeuvrent pour la nation au péril de leur vie, au péril de leur âme.
Une lecture coup de coeur. Ce roman m'a totalement happé, une fois commencé on ne peut plus le lâcher, Dima m'a beaucoup touché, et la construction du récit nous immerge complètement dans ce monde sans pitié. Et, il y a Léa, le soleil au milieu de la nuit, le bonheur qui vous fait de l'oeil dans une existence dévastée, qui nous montre que même les forteresses les plus protégées peuvent être envahies…
On ressent chez Dima, de telles blessures, de telles fêlures que l'on en vient à l'excuser pour ses actes, ce ne doit pas être facile de mener une vie de fantômes, une vie ou on décide pour vous en quelque sorte.
Un roman court mais qui vous met une véritable claque, pas de temps mort, pas de longueur. Une double temporalité, un avant et un après, au fil de son récit le narrateur nous livre des morceaux de sa vie, et nous comprenons tout l'intérêt de ces deux périodes.
Un récit raconté à la première personne qui nous fait penser à un journal de bord, à une confession. J'ai vraiment eu la sensation de lire une histoire autobiographique, tant nous rentrons dans l'âme de Dima. Je ne connaissais pas vraiment ce milieu et ça m'a fait froid dans le dos, j'ai vraiment souffert avec lui. Je n'ose même pas imaginer ce que peut être une vie dans laquelle nous n'avons plus le droit d'avoir d'attache.
La plume de l'auteur est fluide, incisive et totalement immersive. C'est très bien écrit, le ton de Yann Zolets est juste, il met en avant le ressenti du narrateur. J'ai vraiment aimé découvrir le monde de l'espionnage que je ne connaissais pas, de plus la construction du récit nous tient en haleine, et suscite au lecteur l'envie de connaître la suite.
Une lecture coup de coeur. Ce roman m'a totalement happé, une fois commencé on ne peut plus le lâcher, Dima m'a beaucoup touché, et la construction du récit nous immerge complètement dans ce monde sans pitié. Et, il y a Léa, le soleil au milieu de la nuit, le bonheur qui vous fait de l'oeil dans une existence dévastée, qui nous montre que même les forteresses les plus protégées peuvent être envahies…
On ressent chez Dima, de telles blessures, de telles fêlures que l'on en vient à l'excuser pour ses actes, ce ne doit pas être facile de mener une vie de fantômes, une vie ou on décide pour vous en quelque sorte.
Un roman court mais qui vous met une véritable claque, pas de temps mort, pas de longueur. Une double temporalité, un avant et un après, au fil de son récit le narrateur nous livre des morceaux de sa vie, et nous comprenons tout l'intérêt de ces deux périodes.
Un récit raconté à la première personne qui nous fait penser à un journal de bord, à une confession. J'ai vraiment eu la sensation de lire une histoire autobiographique, tant nous rentrons dans l'âme de Dima. Je ne connaissais pas vraiment ce milieu et ça m'a fait froid dans le dos, j'ai vraiment souffert avec lui. Je n'ose même pas imaginer ce que peut être une vie dans laquelle nous n'avons plus le droit d'avoir d'attache.
La plume de l'auteur est fluide, incisive et totalement immersive. C'est très bien écrit, le ton de Yann Zolets est juste, il met en avant le ressenti du narrateur. J'ai vraiment aimé découvrir le monde de l'espionnage que je ne connaissais pas, de plus la construction du récit nous tient en haleine, et suscite au lecteur l'envie de connaître la suite.
