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Critique de Ellexa
Le monde classe les criminels sur une échelle allant de 1 à 25. 25 étant particulièrement horribles. Mais depuis un moment, un profile se détache du lot : plus vicieux, insaisissable. Il opère n'importe où, n'importe quand, n'importe qui. Son mode opératoire ? Aucun, si ce n'est ne laisser aucune trace. Et pour cela, il fait partie, à lui seul, du tout nouveau barreau de l'échelle... Il est le niveau 26.
Une seule personne est à priori capable de l'arrêter, et c'est un ancien agent fédéral qui a eu directement affaire à lui : le monstre a liquidé toute sa famille et semble lui vouer un attachement tout particulier...
Un roman implacable. Après la curiosité, on est frappé par le syndrome de la "page qui se tourne toute seule". Les chapitres, courts, s'enchaînent et ne nous laissent aucun répit : le point de vue du monstre, du héros, de quelques autres personnes, et l'horreur qui augmente au fil des pages. Certains passages sont difficiles à lire tant les détails sont nombreux. Les personnages sonnent vrais, leurs réactions à chaud donnent l'impression de les entendre et pire... On pourrait presque se sentir observé et le moindre petit mouvement inhabituel pourrait presque nous faire frissonner d'inquiétude. Presque... Presque ?
Une seule personne est à priori capable de l'arrêter, et c'est un ancien agent fédéral qui a eu directement affaire à lui : le monstre a liquidé toute sa famille et semble lui vouer un attachement tout particulier...
Un roman implacable. Après la curiosité, on est frappé par le syndrome de la "page qui se tourne toute seule". Les chapitres, courts, s'enchaînent et ne nous laissent aucun répit : le point de vue du monstre, du héros, de quelques autres personnes, et l'horreur qui augmente au fil des pages. Certains passages sont difficiles à lire tant les détails sont nombreux. Les personnages sonnent vrais, leurs réactions à chaud donnent l'impression de les entendre et pire... On pourrait presque se sentir observé et le moindre petit mouvement inhabituel pourrait presque nous faire frissonner d'inquiétude. Presque... Presque ?
