Il m'est difficile de reconnaître, dans le récit extrêmement bienveillant de
Stefan Sweig, le Brésil dans lequel j'ai vécu quarante ans plus tard. J'entends surtout, dans les paroles de Sweig, le besoin de s'accrocher à l'espoir d'un monde vivable à l'heure où le sien était en train de s'écrouler.
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