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Critique de meeva


Je vais réfléchir. Réfléchir pour prendre une décision. Voilà. Je sais comment je vais écrire cette critique.

Je n'ai pas du tout accroché.


L'idée bien sûr est intéressante : imaginer des sociétés différentes selon les modes de pensées qui s'y sont développées, le système aristotélicien qui utilise un mode de pensée thalamique (basé sur les réflexes et les émotions) et le système non-aristotélicien (basé sur la réflexion et sur la distinction du monde et de sa représentation – mentale et verbale).

A noter l'expression « la carte n'est pas le territoire » utilisée à plusieurs reprises pour illustrer le non-A, principe de la sémantique générale.


Bien après ces grands principes très intéressants pour ceux que ça intéresse, l'histoire.

Gilbert Gosseyn passe son temps à réfléchir (d'où ma phrase d'accroche), prendre les mauvaises décisions ; à peine parti d'un endroit, malgré tout le mal que cela lui a donné, il y retourne immédiatement, pour se faire avoir, se rendre compte qu'il a pris la mauvaise décision. C'est énervant !!

L'histoire m'a semblé difficile à suivre aussi pour deux raisons :
Des dialogues qui ne sont pas écrits ; à la place on nous signale que deux personnages ont discuté. Mais parfois, je n'étais pas sûre du contenu de cette conversation.
Des actions ne sont pas décrites en totalité ; par exemple certains déplacements du héros alors j'ai dû relire des passages pour me rendre compte que le lieu avait changé.


Bref, il ne s'est pas passé grand-chose je trouve dans ce premier volume et je me suis un peu forcée à le finir. Cependant ayant appris la tolérance et la persévérance, je me suis quand même attaquée à la suite, « les joueurs du non-A ».
Allez GG, bouge-toi un peu.
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