Will s'est posé trop de questions sur la société soit-disant parfaite dans laquelle il vit. Par conséquent il est désormais indésirable, traqué puis rééduqué.



Dans ce tome 2, on continue sur les clichés du genre. Puisqu'il n'est pas un sage et parfait citoyen, on l'extradie et l'enferme dans un centre pour lui laver le cerveau.

On va suivre différentes personnalités que le centre de rééducation fait subir à Will. Ça n'avance guère jusqu'à ce que les résistants au système arrive à le faire évader dans les dernières pages du l'album.

Ce n'est pas deplaisant à lire mais entre le manque criant d'originalité et le sur-place que faire l'histoire ce ne sera pas la lecture de l'année.

Will vit dans un monde parfait, ciel bleu et vie en rose. Tout est aseptisé, contrôlé, millimétré. Et personne s'en plaint, en tout cas chez les "plus", l'élite de la société.

Mais un jour quelqu'un essaie de faire ouvrir les yeux de Will sur la réalité, en lui faisant passer des livres, pourtant désormais interdits. Son bienfaiteur espère qu'il tirera de ses lectures des raisons de douter, de développer un esprit critique.



Un univers futuriste qui manque cruellement d'originalité. Cette dystopie prend des chemins maintes fois parcourus de société trop contrôlée, soit disant pour le bonheur des gens. Malgré ce sentiment très présent de déjà-vu, la lecture est plaisante.

Le dessin de Griffo manque de précision sur certaines cases mais il a un côté plaisant et romantique qui casse un peu de côté froid de la dystopie.

Will est en cavale, devenu hors la loi. Rapidement repris, il va vivre d'autres aventures sous d'autres noms . L'utopie dans laquelle il vit se complexifie. pour aboutir à un retournement de situation ultime. Difficile d'entrer plus dans les détails. Allié à un dessin solide, cette anticipation est plutôt bien écrite .ce n'est pas original (le héros qui vit dans un fantasme) mais la narration est menée avec suffisamment de maitrise pour être intéressante.

Quand on vit dans une société futuriste qui a pour leitmotiv « Pour un présent heureux, un passé lisse », notre ciel ne peut qu’être bleu et notre vie rose. Will Jones vit ici, dans ce monde régi par Andy et Carla, deux mystérieuses personnes dont on entend parler mais qu’on ne voit pas, si ce n’est Andy en hologramme. Un jour Will découvre un livre dans sa poche de veste. Ces livres qui ont été bannis car ils véhiculaient des choses mauvaises pour le peuple. D’abord stupéfait puis curieux, Will va lire ce livre qui est le premier d’une longue série, apparaissant mystérieusement dans son casier. Mais bientôt son comportement va attirer l’attention des autorités.



C’est le premier tome d’une série futuriste qui en comportera 3. Dans la veine dystopique, nous voilà entraînés dans une société qui prône le bonheur tout en bridant son peuple. Comme dans toute dystopie qui se respecte, il y a des récalcitrants, des personnes qui s’insurgent contre le système, et un système de castes qui est en place. Rien de révolutionnaire dans Utopie, mais un tome qui se laisse lire facilement et qui nous plonge rapidement dans ce monde presque monochrome aux nuances vert d’eau, qui dissimule de nombreux secrets. A suivre !



Merci à Babelio et aux Editions Delcourt pour l’envoi de cette BD dans le cadre d’une Masse Critique !

Un tome 2 qui est une vraie relance bien cadrée avec rebondissements subtils. Reste le côté Monte-Cristo. Enfin à voir dans le tome 3 en septembre prochain.
Lien : https://www.ligneclaire.info..

Comme son nom le laisse aisément deviner, Utopie nous présente une société qui se veut « idéale », même si on comprend vite qu’elle n’est pas exempte de défauts, parmi lesquels la persistance d’un système de classes : les « plus », les « moins » et les « sans », ou encore des relations sans spontanéité, sans réelle proximité.



Will Jones, notre héros, y est bien intégré. Membre de la classe supérieure, il travaille à l’Académie historique dont le maître mot est « pour un présent heureux, un passé lisse ». Il ne remet rien en question : ni sa vie, ni la société. Jusqu’au jour où...



La trame de ce premier volume n’est pas vraiment nouvelle. On peut y voir effectivement, comme je l’ai lu dans un autre commentaire, un mélange de 1984, Fahrenheit 451 et Le meilleur des mondes. J’ai également pensé fugitivement à Divergente (page 45).



L’histoire ne semble décoller que dans le dernier quart et j’ai eu l’impression qu’il servait plus de tremplin aux prochains tomes. Au final, une lecture plutôt mitigée : pas un rejet complet mais pas non plus vraiment emballée. Si j’ai l’occasion, je lirais peut-être le volume 2...



Lu dans le cadre d’une masse critique de Babelio (que je remercie encore), il aura au moins eu le mérite de me faire sortir de ma zone de confort, n’étant pas une fervente lectrice de BD.

Ce premier tome m'a ramené à de nombreux scénarios de SF de mon adolescence.

Cet univers lisse, oppressant, passe bien à travers les dessins.

Côté intrigue, ça coule un peu sans surprise, tranquillement. Mais je donnerai certainement une chance au tome 2 pour voir comment avancent les personnages.

Merci aux Editions Delcourt et à Babelio pour cette opération Masse Critique.

Club N°55 : BD non sélectionnée

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Je ne pensais pas que l'on pouvait encore éditer des histoires déjà lues 30 fois comme celle-ci .



Tout est très ""classique"" (...) et nous donne seulement envie de relire L'INCAL ou mieux, Farenheit 451, dont le récit ne fait même pas mention ...



J'ai été trompé par la couverture et n'avais pas bien lu le titre ^^...



Benoit

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Sujet déjà vu et livre plutôt pas top...



JH

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